Pour Ton égo c’est très difficile de faire face à sa propre Identité car elle est illusoire et que Ton égo ne peut pas l’accepter facilement.

C’est très douloureux pour une Identité de l’égo de Faire face à soi-même et à ses propres contradictions.

C’est pour ça que Ton égo est dans le Déni et la dissonance cognitive.

Motif inavouable ou refus de savoir, le mensonge le plus dangereux est celui qu’on se raconte —psychanalyse_2.0

La clé est d’arrêter de tout faire passer par Ton système mental et donc d’accueillir ce qui est : L’instant présent, dans le Lâcher-prise

Comment faire face

Méthode choc

Les gens feront n’importe quoi, peu importe l’absurdité, afin d’éviter de faire face à leur propre âme — CG Jung

Devant le Déni de Ton égo, voici une méthode choc pour faire face :

https://www.planetesante.ch/Magazine/Medicaments-examens-et-traitements/Psychotropes/L-Ayahuasca-vu-par-un-psychiatre-jungien

“Pour Jung, le déséquilibre psychique serait dû à un fonctionnement trop unilatéral, donc non complet et non total du Conscient. Ce déséquilibre formerait les racines de la névrose. La névrose serait donc toujours liée à «l’incomplétude de l’Âme», à un blocage nous empêchant d’atteindre la totalité de notre psyché. Pour répondre à votre question, les hallucinogènes n’effacent pas magiquement la dépression, ni n’atténuent, comme pourraient le faire certains antidépresseurs classiques, les symptômes dépressifs, bien au contraire. Ils nous plongent au cœur même du déséquilibre psychique, nous amenant à conscientiser ce qui ne fonctionne pas en nous. Et, comme vous le savez sans doute, c’est en conscientisant les causes de son mal-être que nous trouvons les clés pour y remédier. … Une rencontre intense avec son inconscient. C’est d’ailleurs ce qui se passe, mais de façon beaucoup plus douce, lors d’une psychanalyse. L’objectif idéal d’une psychanalyse est de prendre conscience de ce qui bloque dans l’inconscient et de l’intégrer. C’est un processus long qui dure des mois voire des années, mais qui a l’avantage de permettre au patient d’assimiler petit à petit la Part d’ombre qui réside en lui. Avec les Psychédéliques, cette part d’ombre peut se révéler d’un seul coup, d’où son effet thérapeutique, mais aussi son danger. Les cas les plus impressionnants sont les personnes qui guérissent du jour au lendemain d’une addiction, parfois sans symptômes de servage, ce qui est tout de même assez étonnant. Il y a de nombreux témoignages de la sorte de la part de patients toxicomanes qui ont pris de l’Ayahuasca lors d’une cérémonie chamanique. Pendant la cérémonie, ils conscientisent, grâce à des visions, les parties sombres de leur âme et les traumatismes qui les ont amenés à se réfugier dans la drogue. Ils comprennent soudainement que leur addiction n’a aucun sens et ils l’arrêtent d’un coup. Ce phénomène de conversion peut parfois tenir toute une vie, parfois non. Les plantes psychédéliques, qui sont dans la plupart des civilisations traditionnelles des plantes sacrées, ne nous montrent pas ce que l’on veut voir, mais plutôt ce que l’on doit voir pour aller mieux. Ensuite, le travail nécessaire à la guérison, c’est au patient de l’accomplir. La plante ne fait que montrer le chemin. … A la question de pourquoi des chamans viennent à présent donner leur plante sacrée aux Occidentaux, il avait répondu: «La plante, qui contient l’esprit de Pachamama, la Terre-Mère, nous a dit que l’homme blanc était tellement perdu, tellement fou, qu’il ne pouvait plus y arriver autrement et que si on ne l’aidait pas avec la plante, il allait détruire la Terre elle-même!» Il semblerait donc, d’après les chamans, qu’on n’ait plus le temps de s’éveiller spirituellement avec la méditation ou le yoga. Il nous faudrait une thérapie choc avant qu’il ne soit trop tard.”