Le consumérisme est un mythe qui dit que pour étre heureux il faut consommer autant de Produits et services que possible. Si quelque chose nous manque c’est que nous avons besoin d’Acheter une voiture, un cours de yoga ou autres.
Société du consumérisme
La Société consumériste se sert du Biais de conformité des gens, de leur Désir mimétique et de leur souhait d’appartenance à la Classe dominante pour leur vendre trop cher des choses dont ils n’ont pas besoin.
Les citoyens sont bombardés de milliers de Publicité par jour pour leur dire ce qu’ils doivent acheter pour “réussir dans la vie” ou “être cool”.
Ils poussent à l’achat par tous les moyens, souvent avec le FOMO et des techniques de Persuasion.
Les consommateurs semblent combler un vide, un manque existentiel. Finalement Le capitalisme fabrique des malheureux, et aussi des Pauvres
Les citoyens accumulent des choses dont ils n’ont pas vraiment besoin. Ils consomment trop d’informations aussi : c’est l’infobésité.
On n’en a jamais assez. Comme disait Jésus Christ, ceux qui mangent de ce pain ne seront jamais comblés, car c’est le manque qui constitue ce pain.
Sortir du piège de la consommation
Lorsque tu es dans une logique de manque, tu deviens un consommateur : tu as besoin de te tourner vers ce qui t’entoure pour combler ce vide et retrouver un sentiment de bien-être. Ainsi, tout ce que tu rencontres devient une proie, tu regardes ton environnement extérieur avec les yeux d’un prédateur. Tes relations sont alors fondées sur l’agression, souvent masquée par une attitude de gentillesse et de bienveillance.
Tu ressens un vide intérieur qui fluctue en fonction de tes blessures non cicatrisées. Si tu te sens abandonné, par exemple, tu cherches à combler ce manque par une “consommation affective”, en te rapprochant de personnes qui te rassurent et prennent soin de toi. En réalité, tes lacunes découlent de ton refus de regarder en face tes blessures et de les soigner. En tentant de soulager ton mal-être par des solutions superficielles, tu ne fais qu’amplifier le problème.
Une blessure ne peut être guérie que par un pardon véritable, basé sur l’accueil et l’acceptation sans condition, que ce soit envers toi-même ou envers autrui. Tu consommes uniquement pour survivre, en attendant de guérir tes blessures et te libérer d’un monde de victimes et de prédateurs.
Le monde qui t’entoure, y compris le règne animal, reflète la complétude et le manque présents en toi. Plus tu réduis ce sentiment de manque, moins tu perçois l’agressivité. La paix est un état d’accomplissement où le manque n’a pas sa place.
Il est temps que tu comprennes que le manque est davantage un concept que quelque chose de concret, et qu’il se manifeste souvent dans la réalité physique, donnant naissance à des besoins de survie. Lorsque le manque disparaît de ton esprit, tu deviens éternel, car tu cesses de le manifester dans ta réalité, éliminant ainsi la mort ; En cessant de manifester le manque dans ton monde, tu supprimes la cause de la fin.
Ce qui te semble solide, immuable ou concret n’est en réalité qu’une idée que tu as matérialisée par projection. Lorsque l’idée change, le sujet change également. La confusion provient de ta tentative de changer ta réalité à partir de la projection, c’est-à-dire de l’extérieur, ce qui entraîne une résistance.
Ton monde est un amalgame des lois divines et des lois humaines issues du principe de la séparation de l’ego, créant ainsi un univers confus, rempli de contradictions. Ton objectif est de distinguer le vrai du faux pour te retrouver dans un monde réel où tout est parfait. Tu y parviendras en remettant en question tes idées, en observant leurs impacts sur toi et sur ta réalité à travers l’énergie que tu émanes, manifestée par tes émotions.
Tes relations avec le monde qui t’entoure doivent aller au-delà du profit et de la consommation pour s’appuyer sur un échange d’amour inconditionnel, favorisant le bonheur des deux parties.
Tu pourras créer dans la réalité et participer objectivement à la joie de vivre lorsque tu te sentiras comblé. Pour le moment, tu es un créateur en apprentissage, générant des effets fictifs à partir de causes conceptuelles conçues par un mental nourri de données erronées, issues du principe de la dualité.