Accepter c’est accueillir ce qui est sans résister.
Accepte, accueille, assume (plutôt que de perdre ton énergie à vouloir changer ce qui est) — Antonin Adert
C’est lié au Pardon et à la Présence. L’acceptation se fait toujours dans le Cœur. C’est du Lâcher-prise.
Tu n’y arriveras pas avec ton Cerveau. Le cerveau peut croire mais pas accepter.
Voir Eckhart Tolle parler de l’acceptation dans cette vidéo. La meilleure manière de pratiquer l’acceptation c’est de vivre la Réalisation de Soi.
Tu peux refuser une situation, même lutter contre, et par ailleurs accepter que la situation soit celle qu’elle est. L’acceptation spirituelle peut donc se produire qu’il y ait acceptation ou refus de la situation particulière
“Au cœur de l’hiver, j’ai enfin appris qu’au fond de moi reposait un été invincible.” — Albert Camus
L’Acceptation inclue la non-acceptation (Eric Baret)
Accepter signifie ne pas se référer à une situation, mais à une disponibilité. Parfois, dans cet accueil profond, je sens un refus de ma part et je l’admets aussi. Il ne s’agit pas de se forcer à accepter. Selon mon niveau intellectuel, culturel, certaines choses sont inacceptables : je le constate. Dire “j’accepte” est une prétention, une fantaisie. Quand je me rends compte que quelque chose dépasse mon seuil de tolérance, je suis disponible à la non‐acceptation : elle fait partie de moi.
Le fait d’acquiescer ou non revient au même.
J’accepte en moi les moments de disponibilité envers la vie comme les moments de refus, de résistance. Je ne choisis plus l’un plutôt que l’autre. Plus j’intègre cette capacité à accepter les deux moments, plus ce noir et ce blanc vont se mélanger. Ma vie va quitter ses immenses joies et tristesses pour une neutralité momentanée. Ensuite, plus rien n’est entre mes mains. Comme si quoi que ce soit ne l’avait jamais été…
L’acceptation est un regard.
Je n’accepte rien : je regarde, je vois.
Donc, l’acceptation comprend l’acceptation et la non‐acceptation.
Comme la détente renferme la détente et la tension.
Comme la santé contient la santé et la maladie.
Un jour, il n’y a plus la lutte de l’un vers l’autre.
Éric Baret, De l’Abandon
Je ne te demande pas d’accepter mais d’accueillir
La guerre est en lien avec la conscience collective.
Tous les individus forment des pensées de séparation qui éclatent à l’échelle mondiale. Comme les maladies, les catastrophes naturelles, etc.
Toutes les pensées s’amassent et créent réellement.
Tout ce que tu qualifies de mauvais, de mal en le jugeant, ne fait qu’exister encore plus.
Je ne te demande pas d’accepter mais d’accueillir.
Ainsi tu libères l’amour de qui tu es pour prendre dans tes bras ces personnes qui souffrent.
L’expérience est seulement ce qui compte pour ton âme.
Elle n’a que faire de la connaissance, car elle sait tout.
La compréhension est pour ton mental.
C’est tout aussi nécessaire, mais cela peut te ralentir.
Privilégie l’expérience à la connaissance.
Tu découvriras que la connaissance est déjà en toi au moment de faire l’expérience.
C’est une perte de temps de vouloir tout comprendre avant d’expérimenter.
Tu recherches la connaissance comme une manière de te protéger de la vie, te protéger de ce qui est.
Au lieu de juger ton expérience parce qu’elle ne te plaît pas, ou de te cacher dans tes théories et de chercher à avoir plus de connaissances, vis.
Ton mental est un outil d’expérimentation. Il ne sert pas à être qui tu es, il n’est pas un empêcheur de trouver le bonheur.
Il est un programme qui te permet de jouer un rôle.
Il n’est pas un bourreau et toi la victime.
Lâche cette excuse !
Cela fait des éons que tu te caches…
Depuis que tu as commencé ce jeu de l’incarnation…
MON DIALOGUE AVEC LA SOURCE
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