Zéro limite, l’ultime secret
Livre de Joe Vitale sur Ho’oponopono
Highlights
Vous ne serez plus jamais le même
Le docteur Hew Len est célèbre pour avoir dit : « Avez-vous déjà remarqué que lorsque vous avez un problème, vous êtes là ? » Vous êtes là parce que vous faites partie du problème ou, pour mieux exprimer l’idée, vous faites partie du programme. Le programme en vous a attiré une personne qui possède le même. C’est comme vous regarder dans un miroir. C’est vous que vous voyez dans le miroir et c’est aussi vous que vous voyez dans la vie. L’extérieur est une projection. Vous ne sauriez même pas qu’elle existe si
Vous ne serez plus jamais le même
vous n’en faisiez pas l’expérience à l’intérieur de vous. Tout se passe à l’intérieur. L’extérieur est seulement un reflet. Voilà pourquoi il est si important de comprendre que la responsabilité totale consiste à assumer tout ce que vous voyez et vivez. À bien des égards, il n’y a rien à l’extérieur de vous parce que vous en devenez uniquement conscient à l’intérieur. Je le répète, tout est un reflet de ce qui est en vous. Tout est un miroir. Tout est un programme partagé. Quand vous nettoyez, vous nettoyez le programme et vous devenez ainsi une partie de la solution.
Vous ne serez plus jamais le même
Les
Vous ne serez plus jamais le même
Vous ne voyez pas clairement la personne. Vous voyez votre programme projeté sur la personne. Pas étonnant que tant de gens épousent des personnes qui sont semblables à leurs parents ou différents d’eux. Ces images précoces se superposent sur ce qu’ils voient devant eux.
Vous ne serez plus jamais le même
Il y a cent milliards de neurones dans votre cerveau de 1,36 kilo. Chaque seconde, onze millions d’impressions sensorielles sillonnent les autoroutes de votre cerveau, mais seules quarante d’entre elles atteignent votre perception consciente. Quarante ! Qu’est-il arrivé aux 10 999 960 autres bribes d’information ? Votre cerveau les a filtrées et les a classées comme étant inutiles à votre survie.
Vous ne serez plus jamais le même
Comment a-t-il su ce qu’il fallait filtrer ? Comprenez que votre cerveau crée une image du monde à partir des mémoires qu’il possède déjà. Autrement dit, vos expériences passées sont les mémoires qui créent un modèle de réalité dont votre cerveau se sert pour vous indiquer ce qui est réel. Si ce qui se passe en ce moment ne correspond pas à ce que votre cerveau a défini comme valable et réel, en tant qu’être conscient, vous ne le saurez jamais
Vous ne serez plus jamais le même
une fois que l’on comprend la leçon, on n’a plus besoin de l’expérience. « Quelle est la leçon ? », me suis-je demandé.
Vous ne serez plus jamais le même
Un avocat m’a déjà dit : « Il y a dans le cerveau humain quelque chose qui empêchera les gens de dire qu’ils sont responsables. Même quant aux preuves accumulées contre eux, ils nieront, écarteront et rationaliseront leur implication personnelle. » Voilà pourquoi ho’oponopono comprend des phrases comme « je suis désolé » et « pardonne-moi, s’il te plaît ». Ces phrases vous aident à vous éveiller au rôle que vous jouez dans ce que vous vivez
Vous ne serez plus jamais le même
Après des mois d’introspection profonde, j’ai conclu qu’un programme en moi attirait cette situation pour m’enseigner à lire les contrats. J’avais fait confiance à mon agent immobilier, qui aurait dû effacer dans le contrat cette phrase qui nous causait tous ces problèmes ; de plus, je ne l’avais pas lu attentivement en dépit d’un encouragement intérieur à le faire. Je n’avais pas écouté cet avertissement intérieur. Le résultat était infernal. Une fois que j’ai eu compris la leçon – obéir aux intuitions et lire les contrats –, je me suis senti libéré. C’est alors qu’un miracle s’est produit. Le couple d’avocats a proposé de nous entendre hors tribunal. Ils ne voulaient plus trois millions de dollars. Ils ne voulaient plus continuer la poursuite. C’était une conclusion rapide et pacifique au drame. C’était terminé.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
« Esprit, supraconscience, je t’en prie, remonte à l’origine de mes sentiments et de mes pensées de ___________________(insérez votre croyance, votre sentiment ou vos pensées). Rapporte chaque niveau, chaque couche, chaque partie et chaque aspect de mon être à cette origine. Analyse-la et résous-la parfaitement avec la vérité de Dieu. Passe au travers de toutes les générations du temps et de l’éternité. Guérissant chaque incident et ses ramifications fondées sur l’origine. Je t’en prie, fais-le en accord avec la volonté de Dieu, jusqu’à ce que je sois au présent, Rempli de lumière et de vérité. La paix et l’amour de Dieu, le pardon de moi-même pour mes perceptions erronées. Le pardon de chaque personne, de chaque endroit, de toutes les circonstances et de tous les évènements qui ont contribué à ces sentiments et à ces pensées. »
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Rappelez-vous que la seule intention est axée sur votre bien-être personnel. À partir de cet état, que le docteur Hew Len appelle « Zéro », vous pourrez recevoir l’inspiration d’aider quelqu’un, mais laissez cet élan venir de l’inspiration, pas de l’intention de votre « moi ». Entretemps, continuez de nettoyer.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Votre nettoyage est une demande. C’est au Divin qu’il revient de faire quelque chose. Parfois, quelqu’un avait une dette karmique à payer et aucun nettoyage par ho’oponopono n’allait aider à moins que le Divin n’indique que la dette avait été payée. En résumé, nettoyez et lâchez prise. Nettoyez et « faites confiance ». Appliquez ho’oponopono et ayez la foi. Faites confiance au processus. Tout le reste est une demande du moi et ce n’est pas le moi qui mène. C’est le Divin.
Le vrai ho’oponopono peut-il se faire connaître ?
Quel est le vrai ho’oponopono ? Celui que vous faites. À la base, ho’oponopono est un outil, pas une panacée religieuse. C’est une étape sur le chemin de l’éveil.
Le vrai ho’oponopono peut-il se faire connaître ?
Larry Dossey l’a écrit dans son livre Healing Words, « les chercheurs suggèrent que les guérisseurs seront plus efficaces s’ils s’efforcent d’être complètement libres de visualisations, d’associations ou d’objectifs précis ». Il poursuit en expliquant qu’il vaut peut-être mieux adopter à la guérison une approche « que ta volonté soit faite ». Comme Henry Ward Beecher l’a dit, « la force d’un homme consiste à découvrir dans quelle direction va Dieu et d’aller dans le même sens ».
À qui la faute ?
l’épigénétique confirme que ce que nos arrière-grands-parents faisaient apparaît souvent aujourd’hui dans l’ADN d’un enfant. Nous n’arrivons pas blancs comme neige dans ce monde. Nous ne sommes pas un tableau blanc sur lequel il n’y a rien d’écrit. Nous arrivons avec une programmation – puis nous en téléchargeons d’autres de nos parents et des autres, de même que de la culture dans laquelle nous vivons.
À qui la faute ?
Je parle de contentement, alors que j’avais l’habitude de dire que le but est d’être heureux ici et maintenant et d’ajouter que le bonheur est un choix – jusqu’à ce qu’une conversation avec un ami me fasse repenser mon langage.
À qui la faute ?
ce que nous voulons le plus, c’est le contentement. Cela m’a rappelé le mot imperturbabilité. Autrement dit, nous voulons être en paix. Le bonheur pourrait être une façon de l’exprimer. Le contentement en est une autre.
À qui la faute ?
La plupart des gens ne sont pas heureux, en paix ou satisfaits.
À qui la faute ?
si vous voulez voir à quel point vous êtes illuminé, rendez visite à votre famille. Elle sait comment vous déstabiliser.
À qui la faute ?
Vous ne voulez pas devenir accro aux récompenses. Nettoyer pour obtenir quelque chose est un programme. Vous nettoyez pour être ici, maintenant. Le miracle est maintenant. Le pouvoir est maintenant. La vraie récompense est maintenant.
À qui la faute ?
les quatre phrases sont des mots qui déclenchent un processus plus large. Par exemple, quand je dis « je suis désolé », je pense, en réalité, « je suis désolé pour le programme qui, en moi, a créé cet évènement ». Quand je dis « pardonne-moi, s’il te plaît », je veux dire, en fait, « s’il te plaît, pardonne-moi de ne pas avoir conscience de mes propres processus de pensée ». Quand je dis « merci », je veux dire, plutôt, « merci de purger ce programme de mon être ». Quand je dis « je t’aime », je retourne à la source (le Divin ou Zéro) et je nettoie entièrement mon tableau blanc intérieur.
D’où viennent les programmes ?
Selon ce que le docteur Jeffrey Schwartz affirme dans son tout dernier ouvrage You Are Not Your Brain, écrit en collaboration avec la docteure Rebecca Gladding, n’importe quelle habitude ou presque peut être changée grâce à un processus en quatre étapes.
D’où viennent les programmes ?
Il y a au cœur de son approche révolutionnaire la compréhension que vous êtes autre chose que de la matière. C’est pour cela que vous pouvez être distinct de votre cerveau, que vous pouvez en avoir conscience et que vous pouvez en fait le reprogrammer.
D’où viennent les programmes ?
Il n’indique pas d’où viennent les pensées, mais suggère que certaines d’entre elles vous servent alors que d’autres sont des messages trompeurs du cerveau
D’où viennent les programmes ?
j’appelle « croyances limitatives » ce qu’il appelle « messages trompeurs du cerveau ». Les deux sont des pensées qui ne servent pas votre objectif le plus élevé.
D’où viennent les programmes ?
Le docteur Schwartz a expliqué que dans le cadre de son travail avec des patients souffrant d’un trouble obsessionnel compulsif (TOC), des scanographies du cerveau ont révélé qu’ils obéissaient à des messages dommageables émis par leur cerveau. Cependant, le problème n’avait rien à voir avec eux : il venait de leur cerveau. Ils pourraient donc apprendre à le reprogrammer en acquérant de nouvelles compétences.
D’où viennent les programmes ?
jusqu’à ce que vous vous en dissociiez, vous avez l’impression qu’elles viennent de vous. Le nettoyage vous aide donc à les effacer de votre mémoire. Le nettoyage vous aide à les circonvenir pour que votre cerveau ne les émette plus.
D’où viennent les programmes ?
Pour vous aider à saisir le processus, voici en résumé les quatre étapes proposées par le docteur Schwartz : Première étape – Renommez Repérez les messages trompeurs de votre cerveau et les sensations désagréables ; nommez-les pour ce qu’ils sont en réalité. Deuxième étape – Reformulez Modifiez votre perception quant à l’importance des messages trompeurs de votre cerveau ; dites pourquoi ces pensées, ces envies et ces impulsions n’arrêtent pas de vous perturber. (« Ce n’est pas moi ; c’est juste mon cerveau ! ») Troisième étape – Refaites le point Dirigez votre attention sur une activité ou un processus mental sain et productif – alors même que les envies, les pensées, les impulsions et les sensations fausses et trompeuses sont encore présentes en vous et vous perturbent toujours. Quatrième étape – Réévaluez Voyez clairement les pensées, les envies et les impulsions pour ce qu’elles sont – des sensations causées par des messages trompeurs de votre cerveau, qui sont menson-gères et qui ont peu de valeur, sinon aucune.
Le bouton de commande : l’effet placébo
vos attentes créent les résultats que vous obtenez. Vous n’êtes pas obligé de savoir consciemment quelles sont vos attentes. Vous tirerez des conclusions de vos attentes en fonction des gens qui vous entourent et de votre propre passé.
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S’il y a de multiples façons de percevoir ces lignes, selon vos données et vos attentes personnelles, où est la réalité de ce livre ? Voici un autre jeu intellectuel pour éclairer encore plus le fonctionnement du cerveau. Lisez la phrase suivante et comptez le nombre de F que vous voyez : LES FICHIERS DÉFINITIFS SONT LE RÉSULTAT D’ANNÉES D’ÉTUDE SCIENTIFIQUE COMBINÉES AVEC L’EXPÉRIENCE DES ANNÉES. Cet exemple sert à démontrer qu’il y a des bogues dans votre cerveau. (En passant, il y a quatre F. Avez-vous compté le deuxième dans le mot définitif ?) Voici encore un autre jeu intellectuel : combien d’animaux de chaque espèce Moïse a-t-il embarqué dans l’Arche ? À moins d’avoir déjà vu cette question, vous avez probablement répondu « deux ». Mais vous auriez tort. Ce n’est pas Moïse qui a rassemblé les animaux. C’est Noé.
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Un premier groupe a lu ces instructions écrites en noir et en Arial, une police claire et lisible. Le second groupe a lu les mêmes instructions, mais dans une police imitant un pinceau qui donnait l’impression qu’elles avaient « été écrites à la main avec un pinceau japonais ». On a ensuite demandé aux étudiants d’entreprendre de faire le programme d’exercice. Ceux qui avaient lu les instructions dans la police facile à lire ont eu l’impression que le programme serait facile à entreprendre et à faire. En revanche, ceux qui avaient lu les mêmes instructions dans la police plus difficile à lire ont eu l’impression que le programme serait trop ardu. Ils ne voulaient pas s’y mettre du tout. Comme Herbert l’a écrit, « ceux qui s’étaient débattus avec les traits de pinceau japonais n’avaient pas du tout l’intention de se rendre au gym. À elle seule, la lecture les avait épuisés ».
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Notez que ces étudiants ne savaient pas consciemment que la présentation graphique de leurs instructions influençait leurs décisions. Cela s’est produit à leur insu. Une police de caractères les a influencés.
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Votre cerveau porte constamment des jugements à l’emporte-pièce. Il essaie de se montrer efficace et d’assurer votre sécurité, mais il est paresseux. Or, comme les exemples précédents le montrent, ces raccourcis pourraient bien limiter votre capacité à voir la réalité de la vie et à effectuer des changements quand vous le voulez. Vous ne voyez peut-être même pas comment vous êtes influencé par tout ce qui vous entoure, gens et choses. C’est un processus entièrement inconscient.
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Ho’oponopono vous invite donc à vous défaire de la programmation passée qui crée essentiellement ces bogues mentaux, en pardonnant toutes les entreprises passées pour trouver l’amour et l’acceptation au présent. La méthode vous aide à vous épurer afin que vous puissiez vous éveiller au moment présent.
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Des études scientifiques choquantes ont été faites et ont prouvé que lorsque des personnes souffrant de problèmes au genou ont été amenées à croire qu’elles avaient subi une chirurgie au genou – elles avaient été anesthésiées et leur genou incisé, mais sans qu’il y ait intervention –, elles allaient mieux.
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Ce n’est pas nouveau. Je connais le pouvoir de la croyance depuis les années 1960 lorsque j’ai lu pour la première fois le chef-d’œuvre de Claude Bristol, La magie de croire. Votre croyance façonne votre réalité. Croyez qu’une chose sur vous ou votre monde est vraie et vous aurez tendance à attirer les circonstances correspondantes. C’est aussi le cas des croyances négatives. Le nocebo est une attente négative qui créera tout aussi facilement ce qui lui correspond. Autrement dit, si vous croyez que les choses iront mal ou que quelque chose aura un effet préjudiciable, vous aurez tendance à attirer cette attente6.
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la science actuelle étayant les placébos prouve que ce que vous croyez est plus important que la soi-disant réalité qui vous entoure.
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j’insiste pour dire que la réalité est une illusion. L’idée n’est pas nouvelle. Bouddha et les autres, surtout les maîtres enseignant la non-dualité, ont dit la même chose. Quand vous partez du quatrième stade de l’éveil, vous voyez l’illusion. Comme l’a dit Einstein, « la réalité est simplement une illusion, quoique très persistante ».
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la soi-disant réalité que vous voyez provient de vos perceptions et celles-ci viennent de vos croyances
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Le seul danger réel dans la magie est peut-être de se fier uniquement à elle. Dans son livre Comment devenir un optimiste contagieux, Shawn Achor suggère de porter des lunettes roses plutôt que de voir la vie en rose. Il dit que « comme leur nom le sous-entend, les lunettes roses laissent les problèmes vraiment majeurs entrer dans notre champ de vision tout en nous maintenant surtout axés sur le positif ».
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Si je me préparais à aller au combat, j’enfilerais donc certainement une veste magique – et je ferais aussi tout mon possible pour rester sain et sauf. La veste magique pourra avoir un pouvoir intrinsèque ou pas, mais ma croyance en elle aura, elle, certainement du pouvoir. Autrement dit, un placébo n’est pas réel, mais l’effet placébo l’est, lui. Ayez la foi et attachez votre chameau.
Le miroir secret
les intentions contraires. C’est l’idée que votre esprit conscient veut une chose tandis que votre esprit inconscient en veut une autre. Ce conflit bloque les résultats. Par exemple, si vous voulez consciemment plus d’argent, mais avez inconsciemment un programme affirmant que l’argent est mauvais, vous empêcherez l’argent d’affluer à vous. Votre intention contraire inconsciente, venue de la partie de vous invisible et plus puissante, aura le dessus.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Une intention claire – formulée sans désespoir ni nécessité, mais dans un esprit de confiance, de foi et de plaisir pareil à celui d’un enfant – mène à des possibilités que personne n’aurait pu prédire ou orchestrer. — Joe Vitale
Loi d’attraction et ho’oponopono
il y a trois moyens pour manifester la réalité : 1. Par défaut Si vous ne vous investissez pas dans votre vie de façon consciente, vous verrez votre réalité créée pour vous par votre inconscient et les actions des autres. C’est une façon non éveillée de vivre. 2. Par choix Vous pouvez déclarer vos intentions consciemment, ce qui incitera votre corps, votre intellect et votre esprit à aller dans une direction donnée. C’est mieux que l’intention par défaut parce que vous êtes plus éveillé et outillé pour agir. 3. Par inspiration C’est ici que vous permettez au Divin ou à Zéro de vous apporter des idées nouvelles. Elles sembleront peut-être venir de nulle part. Si vous vous détendez et lâchez prise tout en restant conscient et éveillé, vous pourrez recevoir de nouvelles idées étonnantes. C’est une approche de la vie excitante et plus éclairée.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Les intentions sont encore puissantes. Vous pouvez formuler toutes les intentions que vous voulez, mais il est plus sage de laisser le Divin vous offrir ce que vous énoncez – ou quelque chose de mieux. C’est alors que l’inspiration est reine.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Voyez les choses ainsi. Les intentions viennent de votre « moi » et s’appuient sur votre passé. Elles s’appuient sur ce que votre esprit croit possible, ce qui veut dire qu’elles s’appuient sur les données actuelles. Elles s’appuient sur les mémoires. Ce sont des contraintes innées. D’un autre côté, l’inspiration peut vous éblouir. L’inspiration peut venir de tout ce qui est – appelez-le « Divin », « Zéro », « Dieu », « Tao ». Il inclut votre esprit, mais le dépasse. C’est le moyen qui vous permet de penser encore plus grand que jamais auparavant.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Une autre façon de le voir est de prendre les quatre stades de l’éveil, dont j’ai parlé dans Le cours en éveil.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Voici les quatre stades : 1. L’état de victime Cette première étape est celle où vivent la plupart des gens. Peu importe ce qui se passe, tout est la faute du reste du monde ou à tout le moins de quelqu’un d’autre. C’est le monde où le blâme règne en maître. C’est là que la plupart des gens mènent, comme Thoreau l’a souligné, « une vie de désespoir silencieux ». 2. L’autonomisation Le secret, Le facteur d’attraction et Pensez et devenez riche portent tous sur l’autonomisation. C’est à ce stade que vous pouvez formuler une intention, visualiser et manifester. C’est amusant – et même excitant. Mais, à un moment donné, vous affrontez un évènement sur lequel vous n’avez aucune emprise, souvent un décès ou une maladie grave, et vous vous heurtez à des limites. Vous vous rendez compte que vous n’avez pas la main haute sur tout. Vous ne le pouvez pas. Cela vous prépare au stade suivant.
Loi d’attraction et ho’oponopono
- L’abandon Ce troisième stade est celui d’ho’oponopono, tel que le docteur Hew Len me l’a enseigné. Vous n’essayez pas de gouverner le monde. Vous vous efforcez de vous libérer de vos intentions et d’accueillir les inspirations. Vous faites confiance à un processus qui est déjà à l’œuvre. Vous apprenez à vous mettre en phase avec un courant sous-jacent venu du Divin. Vous lui faites confiance.
Loi d’attraction et ho’oponopono
- L’éveil À ce dernier stade, votre « moi » fusionne avec l’esprit du Divin. Personne ou presque n’y arrive, sinon certaines personnes. De l’extérieur, vous ne pouvez dire qui est illuminé et qui ne l’est pas. Il n’y a aucun moyen pour vous de le savoir. Par ailleurs, l’éveil vient par la grâce. Vous ne pouvez pas provoquer l’éveil ou l’illumination. Ce n’est pas vous qui décidez. Tout ce que vous pouvez faire, c’est nettoyer, épurer et vous préparer. Je le répète, la loi d’attraction n’est pas écartée, pas plus que l’école primaire ne le serait dans le cas d’un étudiant au collège. Elle fait partie de votre évolution. Elle fait partie de l’échelle de l’éveil ou, comme aurait pu le dire de son vivant le docteur David Hawkins, de la carte de la conscience humaine. Les deux ne sont pas en conflit. Ils se situent simplement à des niveaux de spiritualité différents.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Formulez l’intention. Nettoyez et lâchez prise. Simple, non ? Oui, c’est de la haute voltige. Vous devez vous concentrer sur ce que vous voulez – mais sans attachement, sans dépendance, sans besoin et sans désespoir. Si vous portez l’un ou l’autre de ces poids, vous nettoyez ce bagage pour vous en libérer. L’idéal est d’être dans l’esprit suivant : « Est-ce que ça ne serait pas cool ? »
Loi d’attraction et ho’oponopono
après avoir formulé une intention claire, la dernière étape consiste à lâcher prise tout en faisant des gestes inspirés
Loi d’attraction et ho’oponopono
La partie de la loi d’attraction avec laquelle les gens semblent avoir le plus de difficulté est le comment. Ils formulent une intention puis s’interrogent et s’inquiètent sur ce qu’il faut faire pour manifester le résultat.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Arnold a dit que son père lui avait enseigné à être utile et ce conseil a guidé toute sa vie. Soyez utile.
Loi d’attraction et ho’oponopono
Voyez-vous comment ça marche ? Une intention claire – formulée sans désespoir ni besoin, dans un esprit semblable à celui d’un enfant, fait de confiance, de foi et de plaisir – a mené à une occasion que personne n’aurait pu prédire ou orchestrer. Notre travail a consisté à faire un geste inspiré quand il s’est présenté
Loi d’attraction et ho’oponopono
Le docteur Hew Len dit souvent que vous n’avez pas besoin d’intention du tout. « Contentez-vous de nettoyer pour que la Divinité puisse se manifester à travers vous », répète-t-il. Selon moi, cela s’apparente encore à une intention. Je lui ai déjà demandé : « Si nous nettoyons continuellement, nous vient-il une action que nous devrions mettre en œuvre ? » Il a répondu très vite : « Absolument ! À mesure que nous nettoyons, nous déblayons tout ce qui fait obstacle, de sorte que Zéro peut nous dire quoi faire. » Je le répète, faire ho’oponopono consiste à nettoyer les « mauvaises herbes » mentales et les mémoires dont vous avez hérité pour entendre l’inspiration quand elle vous parle.
Loi d’attraction et ho’oponopono
il n’y a rien de mal avec l’intention. Cependant, une voie supérieure pour traverser la vie consiste à nettoyer en continu jusqu’à ce que l’inspiration vous vienne, puis de laisser cette inspiration être votre nouvelle intention. Faites de l’intention inspirée votre directive. Alors, il vous suffit d’avoir une attitude détachée, de vous abandonner au résultat, en même temps que vous agissez, et de continuer de nettoyer.
Les intentions sont pour les « mauviettes » !
Nous sommes tombés d’accord pour dire que la gratitude est l’un des meilleurs moyens pour s’inscrire dans ce courant divin. J’ai écrit sur le sujet bien des fois et dans bien des contextes. Quand vous ressentez de la gratitude pour quelque chose, n’importe quoi, vous modifiez le signal que vous émettez à ce moment. Vous attirez davantage de cette même vibration pour la syntoniser dans d’autres moments futurs. Donc, ce que vous ressentez en ce moment tend à attirer ce que vous aurez comme expérience ensuite. J’ai souvent dit que ce que vous pensez avec émotion en ce moment aura tendance à se manifester dans votre vie dans trois jours. D’une façon ou d’une autre, vous êtes plus ou moins en train de matérialiser votre avenir par vos pensées les plus chargées en énergie.
Les intentions sont pour les « mauviettes » !
Un jour, le docteur Hew Len et moi marchions sur un chemin de terre quand je lui ai demandé : « Comment fait-on pour savoir si c’est une mémoire ou une inspiration ? » Autrement dit, comment savez-vous si votre désir est une intention de votre « moi », de vos mémoires, de votre programmation ou une inspiration du Divin ? Il m’a répondu du tac au tac : « On ne le sait pas. »
Boîte à souhaits ou boîte cadeau ?
« Nous devons peut-être passer moins de temps à formuler des intentions et plus de temps à recevoir. »
Boîte à souhaits ou boîte cadeau ?
j’ai le sentiment que le Divin a un plan pour chacun de nous et que nous pouvons nous mettre en phase avec ce plan. Si le Divin essaie de nous guider, nous devons faire silence pour entendre ses murmures et sentir ses coups de coude. Cela veut dire d’entrer plus souvent dans le silence, de méditer plus souvent et d’écouter plus souvent les fleurs et les arbres.
Boîte à souhaits ou boîte cadeau ?
D’ordinaire, nous ne pouvons pas voir nos propres données parce qu’elles sont trop proches de nous.
Boîte à souhaits ou boîte cadeau ?
Oui, vous pouvez prier pour obtenir vos souhaits et vos demandes et prétendre que le « moi » conscient (Uhane) sait ce qui est le mieux. Mais pourquoi le feriez-vous quand le Divin est la source de la magie et des miracles ? Les résultats sont tellement plus spectaculaires quand vous écoutez les incitations et les prémonitions du Divin en lui remettant les commandes. Continuez de nettoyer et acceptez les merveilles qui vous sont offertes. Votre vie est un miracle. Acceptez le cadeau.
L’art de ne pas « attirer »
Quand vous avez un programme en activité dans l’ordinateur de votre cerveau, il attire exactement ce que vous aimez, détestez ou craignez – et ce sont vos émotions qui le déclenchent. Par contre, si vous évacuez le programme, si vous le désactivez pour ainsi dire, vous vous libérez pour être au présent, être heureux, ici et maintenant, et pour
L’art de ne pas « attirer »
permettre au Divin de vous inspirer ou même de vous éveiller. La clé de l’ho’oponopono moderne est d’évacuer tous les programmes pour que vous puissiez fusionner avec le Divin, aussi appelé « Zéro ». Le secret consiste à effacer la programmation à mesure que vous en prenez conscience. Quand vous le faites, le Divin viendra à vous et à travers vous.
Nouvelles méthodes d’épuration
- Vous remarquez que quelque chose cloche. Cela peut être déclenché par une pensée, une personne, un évènement ou n’importe quoi d’autre. C’est le stimulus. Avant Zéro limite, vous voyez un problème que vous considérez comme étant en dehors de vous. Après Zéro limite, vous comprenez que le problème est en vous. Personne ne peut vous mettre en colère ou vous bouleverser ; vous le faites intérieurement à partir de ce que vous percevez à l’extérieur. Quel que soit le cas, la première étape consiste à remarquer que vous ne vous sentez pas bien. Vous êtes en colère, bouleversé, inquiet, apeuré ou vous ressentez un autre des émotions ou des sentiments dans la vaste gamme de ceux qui peuvent être classés comme désagréables. 2. Commencez par nettoyer ce sentiment. L’idée n’est pas de nettoyer la personne, la pensée, la situation ou autre chose à l’extérieur de vous. Je le répète, le problème est en vous. Je suis celui qui a conscience d’un problème. Je suis celui qui doit le nettoyer. La méthode pour nettoyer consiste à dire les phrases « je t’aime » ; « je suis désolé » ; « pardonne-moi, s’il te plaît » ; « merci ». Vous pouvez dire les phrases dans n’importe quel ordre. Je les répète mentalement sans arrêt tout en sentant le problème tel que je le perçois. Et je les adresse au Divin.
Nouvelles méthodes d’épuration
- Lâchez prise jusqu’à ce que vous vous sentiez incité à faire un geste inspiré.
Nouvelles méthodes d’épuration
Rappelez-vous que c’est ce que vous faites dans votre esprit, avec votre esprit et pour votre esprit qui compte vraiment. L’idée est que vous épuriez les données. C’est ce qui importe pour créer un espace par où le Divin puisse entrer. Tout ce qui vous donne vraiment le sentiment d’épurer contribuera probablement à vous aider, simplement parce que vous croyez que c’est possible. Réfléchissez à l’effet placébo dont nous avons parlé précédemment. Votre esprit est d’une puissance sans mesure. Quand vous croyez que quelque chose est un outil d’épuration, vous mettez à contribution le pouvoir de votre esprit. Bien entendu, à un moment donné, vous voulez dépasser l’esprit et arriver directement à Zéro. Nous aborderons bientôt ce point.
Nouvelles méthodes d’épuration
quand nous avons devant nous des gens qui sont bouleversés – qui crient ou pleurent. Par exemple, ils se sentent ainsi à cause d’un virus dans leur champ d’énergie, un programme. Bien entendu, ils ne le savent pas parce que le programme les possède. Ils en sont l’hôte.
Vous avez un problème ?
Règle générale, toutefois, il vaut mieux accepter uniquement les conseils des gens qui réussissent déjà dans le domaine sur lequel vous les interrogez
Vous avez un problème ?
Pendant que je continuais de nettoyer, je me suis rappelé que ce que nous n’aimons pas chez les autres est souvent ce que nous avons en nous et n’aimons pas, inconsciemment. J’ai songé à mon parent en me disant qu’il n’admirait pas ma musique. J’ai transformé la phrase en une autre que je pourrais dire et je me suis demandé : « Est-ce ce que je crois à propos de ma musique ? Est-ce qu’en secret, je ne m’admire pas en tant que musicien ? » Pour autant que je refusais de l’admettre, une partie de moi était profondément critique de ma façon de chanter et de mes compositions. Une partie de moi était d’accord avec mon parent. En fait, il se contentait d’exprimer ce que j’avais toujours soupçonné. Comme je l’ai souvent dit à d’autres, l’extérieur est une projection de notre intérieur. Par bien des côtés, ce parent était moi.
Vous avez un problème ?
c’est ainsi que le vrai ho’oponopono fonctionne. Vous ne regardez pas à l’extérieur, vous regardez à l’intérieur. Comme l’a dit le psychologue suisse Carl Jung, « qui regarde à l’extérieur rêve ; qui regarde à l’intérieur s’éveille ».
Le cinquième miracle
Un jour, j’ai interrogé le docteur Hew Len sur l’action. Il a dit : « Quand on est épuré, on ne pense pas. On agit. » Si vous devez penser, c’est que vous avez des croyances conflictuelles qui s’affrontent dans votre esprit : l’une veut que les choses soient ainsi ; l’autre les veut autrement. L’idéal est d’être tellement épuré que l’inspiration vient et l’élan d’agir la talonne. Vous agissez sans vous appesantir sur la question parce que l’action est pure. Sans obstacle. Sans doute.
Le cinquième miracle
Si ho’oponopono a une essence, c’est bien cette idée de confiance. Faites-vous confiance. Faites confiance à la vie. Faites confiance au Divin. La bague en or ancienne que je porte, sur laquelle est gravé le mot latin fidem (« foi »), sert à me rappeler de faire confiance.
D’autres secrets de Zéro limite
Ainsi, il a demandé aux participants : « Si vous cherchiez l’habileté la plus fondamentale, l’atout le plus fondamental pour diriger une entreprise, quel serait-il ? » Après avoir obtenu quelques réponses qui ne l’ont pas satisfait, il a dit : « Je vais vous dire quel est l’atout le plus important parce que, si vous ne l’avez pas, vous êtes dans le pétrin. Vous pouvez être aussi enthousiaste que vous voulez et fournir un service. Vous pouvez faire tout ça, mais l’atout le plus important est la clarté. Une fois que vous êtes clair, tout se produit ; donc, la clarté est l’atout le plus important dans votre vie. Si vous ne l’êtes pas, et la plupart des gens ne le sont pas, peu m’importe ce que vous fournissez ou à quel point votre service est bon. » Il a poursuivi en expliquant que les individus comme Jésus et Bouddha étaient clairs. Ils n’avaient pas besoin d’être enthousiastes ou d’obtenir plus d’information. Ils étaient clairs et leur clarté leur permettait d’être inspirés. La clarté, ce qu’il appelait souvent « Zéro » ou le « Vide », était le but.
D’autres secrets de Zéro limite
Le docteur Hew Len m’a dit un jour : « Si les gens faisaient passer Dieu en premier, tous auraient tout l’argent dont ils pourraient rêver. »
D’autres secrets de Zéro limite
« Ho’oponopono consiste seulement à regarder ce qui se passe en moi, pour que j’en vienne à faire l’expérience de certaines personnes de certaines manières, ou de certaines idées. Ensuite, la question est si je suis prêt à m’en défaire. Une fois que je m’en défais, quelque chose de merveilleux se produit. Instantanément, quand vous êtes à Zéro, c’est le camp de base du Divin, le Je suis. »
D’autres secrets de Zéro limite
Dans les séminaires, le docteur Hew Len a enseigné un processus pour se défaire des données par l’expiration : « Asseyez-vous confortablement, les deux pieds au sol et le dos très légèrement appuyé contre le dossier d’une chaise. » Le pouce représente le Divin, le Je suis en vous. Le doigt qui vous sert à pointer (l’index) est le doigt directionnel et vous représente en tant qu’être. Prenez le Divin en vous (pouce) et le doigt directionnel et réunissez-les pour que le Divin et vous fassiez un. Ensuite, posez simplement vos mains sur vos cuisses. » Ce processus préviendra le décalage horaire. Si vous faites de la dysrythmie, il vous fera retrouver un rythme normal. Toute l’idée est de retrouver le rythme. » Les yeux fermés, inspirez (par le nez) très doucement, comme un processus de respiration normal. » Ensuite, commencez à compter tout en inspirant et en expirant comme suit : en inspirant, comptez jusqu’à sept, faites une pause en comptant jusqu’à sept, puis expirez en comptant jusqu’à sept, faites encore une pause, puis répétez. Chaque série consiste à inspirer en sept comptes, faire une pause de sept comptes, expirer en sept comptes et faire une pause de sept comptes. Cela représente une série. Faites sept fois la série – sept séries du Ha. »
Est-ce réellement arrivé ? Le gros mensonge
Ce qu’il y a de merveilleux dans tout cela, c’est que nous ne sommes pas aux commandes. Le contrôle. L’intention. Tout n’est qu’illusion. Qui décide ? La mémoire et l’inspiration ; la première, une épine, la seconde, une rose. Chacune mène l’âme par le proverbial bout du nez. Vraiment. — Docteur Hew Len
Est-ce réellement arrivé ? Le gros mensonge
Les médias traditionnels ne sont pas conçus pour vous transmettre de bonnes nouvelles. Ils ont besoin que vous restiez dans la peur pour que vous achetiez les produits de leurs annonceurs. (Je dis cela et je nettoie cela en même temps.) C’est pourquoi ils diffusent des nouvelles horribles, tragiques, malheureuses. Lorsque rien de mauvais ne se passe localement, les chaînes d’information cherchent une histoire malheureuse dans une autre région et même dans d’autres pays.
Le miracle ho’oponopono
La toute première chose que vous pouvez faire pour débloquer votre énergie afin de pouvoir attirer plus de vos grands rêves est de pardonner à tout le monde pour tout, tout au long de votre vie – et plus important encore, de vous pardonner à vous-même. – Joe Vitale, The Miracles Manual, tome 1
Le miracle ho’oponopono
Selon ma vision du monde, le vrai ho’oponopono est une méthode qui vous aide à atteindre la paix. C’est un outil pour effacer les vieux programmes, les vieilles croyances et autres données pour que vous puissiez être ici et maintenant et recevoir l’inspiration du Divin. Son objectif principal est de pardonner tout – et à tout le monde – à partir de tous les temps et de tous les lieux. Bien que je m’en serve tous les jours, je sais que ce n’est pas le seul outil. C’est un outil parmi tant d’autres.
Le miracle ho’oponopono
En 2013, j’ai fait une présentation sur une technique intitulée Le processus du souvenir, dont j’ai parlé dans le livre éponyme que j’ai écrit avec Daniel Barrett. Lors de cette conférence, j’ai désigné du doigt un grand tableau blanc et dit : « C’est vous sans la programmation. Vous êtes vierge. Vous êtes à Zéro. À partir de là, vous pouvez recevoir l’inspiration. » J’ai poursuivi en demandant aux gens de prendre conscience de leur corps. Leur corps était-il à l’aise ? De leur côté, ressentaient-ils des maux ou des douleurs ? J’ai expliqué que, même s’ils pouvaient sentir leur corps, ils n’étaient pas leur corps. Ils étaient distincts de lui. Ils pouvaient en être témoins et ne pas être leur corps, en réalité. Vous pourriez vous interroger sur votre corps en ce moment. À l’évidence, vous avez un corps, mais puisque vous pouvez l’observer, vous n’êtes donc pas votre corps, en réalité. Ensuite, j’ai demandé aux gens d’observer leurs pensées. À quoi pensaient-ils ? Pendant que je parlais, leur esprit était actif. Ils m’écoutaient d’une oreille, mais se faisaient aussi des réflexions intérieurement. S’ils pouvaient faire l’expérience de leurs pensées, cela voulait dire qu’ils n’étaient pas leurs pensées. Ils en étaient distincts. Ils pouvaient les observer. Qu’en est-il de vous ? Pendant que vous lisez, vous pensez aussi – mais vous n’êtes pas vos pensées. Vous pouvez observer vos pensées, ce qui indique donc que vous êtes nécessairement distinct d’elles. J’ai ensuite demandé à mon auditoire de réfléchir aux émotions qu’il ressentait. Par exemple, quand mes paroles étaient humoristiques, les gens riaient. À d’autres moments, ils éprouvaient d’autres sentiments. S’ils pouvaient sentir leurs émotions, ils ne pouvaient donc pas être leurs émotions. Ils en étaient plutôt les observateurs. Encore une fois, qu’en est-il dans votre cas ? Vous ressentez des émotions. Vous avez peut-être ressenti diverses émotions en lisant ce livre. Quoi qu’il en soit, si vous avez des émotions et que vous pouvez les décrire, c’est que d’une certaine manière, vous n’êtes pas vos émotions. « Si vous n’êtes pas vos pensées, votre corps ou vos émotions, ai-je demandé, alors qu’est-ce que vous êtes ? » Dans maints contextes spirituels, le mot témoin décrit cette conscience en arrière-plan. Dans la spiritualité hawaïenne, dans ho’oponopono, cet arrière-plan est appelé le « Divin ». Certains le nomment « Dieu », d’autres, la « Nature ». Le docteur Hew Len et moi le nommons « Zéro ». Peu importe le nom que vous lui donnez, ce Divin est en vous et c’est ce même Divin qui est dans vos amis et votre famille, dans Morrnah, le docteur Hew Len et moi. L’objectif ultime est de faire un avec le Divin – c’est l’illumination, l’éveil. Quand vous faites un avec tout ce qui est, vous faites un avec la source de vie.
Le miracle ho’oponopono
Le miracle d’ho’oponopono est que c’est un moyen facile d’effacer ce qui s’interpose entre vous et le Divin. Quand je pointe le tableau blanc du doigt, je désigne un symbole. Quand vous faites ho’oponopono, vous vous dirigez vers ce tableau blanc ou Divin. Quand vous faites un avec lui, vous êtes en paix. Quand vous y êtes, vous êtes à Zéro.
Le miracle ho’oponopono
j’ai pourtant entendu le pape Jean-Paul II dire un jour : « Ce que vous appelez le néant est ce que j’appelle le tout. » Ce tout est le Divin – et il vous aime. Il veut ce qu’il y a de mieux pour vous, votre famille et le monde
Se mettre au diapason
Nous vivons dans un univers gouverné par les croyances. Changez vos croyances, vous aurez un univers différent. — Joe Vitale
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Quand je pense que j’ai une question, au lieu de la poser, je devrais m’arrêter, nettoyer et comprendre que ce n’est pas moi qui ai une question. C’est ma mémoire ou les données qui la posent ? R. : Oui.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Comment le fait de nettoyer mes affaires aide-t-il le monde à être à Zéro ? R. : Vous êtes le monde. La paix commence en vous. Si vous attendez que quelqu’un d’autre soit heureux avant de l’être à votre tour, vous n’avez pas compris le but et vous n’êtes pas encore clair. Travaillez d’abord sur vous.
Foire aux questions sur ho’oponopono
: Il n’y a rien à enseigner. Votre travail est sur vous. Faites en sorte que votre vie soit une inspiration.
Méditation sur le tableau blanc
La méditation n’est pas une activité que nous faisons uniquement durant une heure lorsque nous nous réunissons et l’appelons officiellement « méditation ». La méditation est votre façon de vivre. J’ai déjà eu un t-shirt avec une phrase qui disait : « La méditation n’est pas ce que vous pensez. » J’aime beaucoup cette citation.
Méditation sur le tableau blanc
La première étape de ce que nous abordons ici et vers laquelle je vous oriente – parce que la méditation a déjà débuté – est de dépasser la pensée. Pensez à la fin de semaine écoulée et pensez à ce tableau blanc. Vous pouvez prétendre qu’il y a un tableau blanc ici. À un moment donné, vous voudrez peut-être fermer les yeux lorsque vous vous sentirez à l’aise de le faire. Laissez simplement vos yeux se fermer et imaginez que vous laissez un immense tableau blanc apparaître à l’arrière-plan de votre esprit. Si vous ne le voyez pas très clairement, imaginez dans votre esprit que vous approchez simplement votre chaise un peu plus près ou que vous tendez la main pour le rapprocher un peu plus de vous. Vous avez le tableau blanc et, en même temps que je parle, en même temps que vous êtes assis, en même temps que vous respirez, en même temps que vous vous détendez, des pensées s’inscrivent sur le tableau blanc. Laissez-les simplement arriver et repartir – rien de précis sur quoi vous concentrer en ce moment. Laissez simplement le tableau blanc former l’arrière-plan de votre expérience. En réalité, vous n’êtes pas vos pensées, laissez-les donc arriver et repartir comme des nuages qui ne font que passer en flottant. Vous n’êtes pas vos émotions. Vous n’êtes pas vos sentiments. Vous n’êtes pas votre corps. En fait, vous êtes le tableau blanc. Pendant un instant, sentez, voyez et percevez cet arrière-plan, ce tableau blanc, ce témoin qui est l’essence de qui vous êtes. Les sons que vous entendez, les sentiments que vous ressentez, les pensées que vous avez, vous pouvez simplement les laisser passer. Il n’y a rien à quoi vous devez être attentif. Il n’y a rien que vous devez faire. Vous êtes juste en train d’apprendre à être un témoin. Durant la fin de semaine, vous avez remarqué que lorsque j’écrivais au tableau blanc, je l’effaçais toujours ensuite. Quand nous avons quitté la pièce à la fin de la fin de semaine, le tableau blanc était de nouveau un tableau blanc vierge de toute écriture. Si une partie de votre corps ressent un peu d’inconfort à être assis sur la chaise ou sur le sol, vous pourriez juste noter mentalement « mon corps ressent un peu d’inconfort » et laisser cette pensée s’envoler. Tout en vous détendant, vous gardez les yeux clos et vous savourez ce moment à l’intérieur de vous, votre lien avec le tableau blanc, avec le Divin. Je vous invite à considérer quelque chose que vous aimeriez avoir, faire ou être dans votre vie. Ça peut être tout petit, comme un bon petit-déjeuner ou un bon déjeuner. Ça peut être très grand, comme une maison, une relation ou une guérison. C’est sans importance. Laissez simplement ce désir monter en vous. Vous n’êtes pas obligé d’y penser. Quelque chose montera. Laissez-le simplement monter. Lorsque votre désir émerge, accordez-lui un peu d’attention. Vous n’êtes pas accroché à ce désir. Vous ne lui êtes pas attaché. Vous lui permettez juste d’être dans votre conscience et vous accueillez l’expérience d’avoir ce désir dans votre vie. Que ressentiriez-vous d’avoir, de faire ou d’être ce qui est monté à votre conscience ? Voyez si vous êtes capable d’incarner ce moment. Notez que le tableau blanc est toujours derrière vous. Vous pouvez toujours continuer à ne faire qu’un avec lui. Il représente le Divin. Ce que je vous invite à faire est de laisser ce que vous aimeriez être, faire ou avoir, être absorbé par le tableau blanc. À la manière dont ça se présente pour vous, laissez simplement votre désir se dissoudre, être transporté ou transféré à l’arrière-plan de votre être. Laissez-le simplement partir. Vous avez transmis votre requête au tableau blanc. S’il y a un seul mot pour décrire le tableau blanc, tandis que vous êtes assis, les yeux fermés, c’est généralement amour. Laissez le sentiment d’amour monter dans votre corps, votre conscience et votre être. Quelle que soit votre façon de le ressentir, ressentez l’amour. Sentez un lien avec le Divin, sentez-le en l’accueillant. Les pensées vont et viennent. Ma voix va et vient. La conscience corporelle va et vient. Les émotions vont et viennent. Derrière tout cela, il y a qui vous êtes en réalité. Tournez maintenant votre attention sur votre respiration. Le souffle entre, le souffle sort. Le souffle entre, le souffle sort, au rythme qui est le bon pour vous. Pendant que vous respirez, imaginez que l’énergie monte à travers vos pieds en partant de la terre, en partant du cœur de l’univers. L’énergie monte à travers la plante de vos pieds. Elle monte dans vos chevilles, vos jambes et elle s’élève lentement. Vous pouvez sentir cette énergie qui monte. Imaginez-la si vous ne la sentez pas, au départ. Imaginez simplement qu’à mesure que vous respirez, l’énergie monte de la terre. Vous met en contact avec le Divin à travers le physique. Monte dans votre corps. Monte dans votre cœur. Monte dans votre gorge. Monte dans votre tête. Sort par le sommet de votre crâne et se répand dans la pièce. L’énergie monte à travers vos pieds. Elle vous lave, elle vous lave de l’intérieur et vous dynamise. Cette énergie contribue à alimenter ce que vous aimeriez avoir, faire ou être, ce qui est sorti du tableau blanc. Permettez à cette énergie de monter en traversant vos pieds. Vous sentirez peut-être un picotement à mesure
Méditation sur le tableau blanc
. « Je t’aime. Je suis désolé. Pardonne-moi, s’il te plaît. Merci
Méditation sur le tableau blanc
Il est important de comprendre que lorsque je fais une demande, ce ne doit pas être un besoin, un attachement, une dépendance. Ce devrait plutôt être de l’ordre de « ce serait vraiment cool si j’obtenais de vivre telle et telle chose ». Ce genre de demande. Il n’est pas nécessaire que ça se fasse et il n’est pas question ici de désespoir. C’est plus comme si je m’étais assis sur les genoux de Dieu en disant : « Je peux avoir ceci ? » La façon dont je communique cette demande passe par le sentiment, l’imagerie et la concentration ; c’est pourquoi je vous ai invités à ressentir ce que cela vous ferait d’avoir, de faire ou d’avoir déjà vécu ce que vous désiriez – peu importe ce que c’était. Vous l’offriez au Divin sous forme de sentiments.
Méditation sur le tableau blanc
j’ai dit : « La méditation n’est pas ce que vous pensez. » J’ai aussi dit : « La méditation n’est pas ce que vous faites durant une heure. C’est ce que vous faites de votre vie. » Vous êtes encore en train de méditer. En quittant la pièce, vous serez toujours en train de méditer. Comme je l’ai dit hier, vous pouvez marcher en méditant. Allez en paix.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Chaque fois que quelqu’un regarde à l’extérieur et dit qu’il doit changer cette relation parce qu’il n’aime pas cette personne, ou changer cette situation financière parce qu’elle ne regarde pas très bien, il part du mauvais point de vue par rapport à ho’oponopono. Ce que vous voulez regarder, c’est ceci : la raison pour laquelle vous avez peur de votre situation financière. Autrement dit, il y a une raison pour laquelle vous focalisez « dessus » et la plupart du temps ce n’est pas une raison agréable. Vous focalisez « dessus » parce que vous vous faites du souci à ce sujet. Ho’oponopono est là pour vous aider à dissoudre ce souci, cette inquiétude. Lorsque quelque chose a l’air d’un problème à l’extérieur, c’est ho’oponopono que vous voulez sortir de votre sac magique pour venir à votre rescousse.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
la première chose à savoir est qu’il n’y a pas de problème à l’extérieur
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
« Avez-vous déjà remarqué que lorsqu’il y a un problème, vous êtes là ? »
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
vous participez à la création de ce problème et la participation est un évènement intérieur. Quand vous vous occupez intérieurement du problème, encore une fois, en nettoyant la question telle que vous la percevez intérieurement, l’extérieur, ce que vous percevez comme étant à l’extérieur de vous, disparaît. Le problème se transformera, il changera, il s’éloignera, il pourra même disparaître au point qu’à un moment donné, vous pourrez même ne plus vous souvenir de l’avoir eu. Il aura disparu à ce point de votre mémoire.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Quand je dis « je suis désolé » au Divin, je ne pense pas que j’ai fait une connerie. Je pense que je n’ai pas été conscient, et nous sommes tous gouvernés par notre esprit inconscient ; notre esprit conscient n’est que la pointe de l’iceberg. L’esprit inconscient est l’engin de propulsion, c’est le réacteur nucléaire, c’est l’entrepôt de toute cette information, de toute cette programmation, et nous ne sommes pas conscients de ce qui se trouve dans notre esprit inconscient.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Je suis heureux qu’il soit prêt à se fier au processus parce que le grand secret pour que ce soit efficace est la confiance. Quand j’ai fait le premier séminaire avec le docteur Hew Len, nous parlions de ça et il m’a demandé au début : « Avez-vous déjà entendu la phrase “vous créez votre propre réalité” ? » J’ai répondu : « Oui, je suis l’un des types qui écrit là-dessus. Je monte en première ligne et j’en parle. » Et il a dit que si quelqu’un apparaît dans votre vie comme [quelqu’un] l’a fait dans la sienne et que [cette personne est] un criminel aliéné, n’avez-vous pas contribué à créer cette réalité ? Autrement dit, si on crée sa propre réalité, il n’y a pas de faille, il n’y a pas d’échappatoire, il n’y a pas de petits coins secrets où l’on n’a pas créé ce qui est. Donc, si vous créez votre réalité et que le Japon est dans votre réalité en ce moment, par extension, vous avez nécessairement dû contribuer à sa création. Maintenant, quand vous regardez le Japon, le vrai problème est comment vous vous sentez intérieurement à ce sujet. Si vous le regardez comme un évènement neutre devant lequel vous ne ressentez rien de particulier, ça va bien pour vous, probablement. Si vous regardez la situation en disant : « Ô mon Dieu, comment cela a-t-il pu se produire ? », ou bien « C’est une terrible catastrophe », ou « Ô Seigneur ! Où est Dieu ? Le démon est parmi nous » – peu importe ce qu’il s’adonne à être, alors n’importe lequel de ces sentiments se transforme en problème. Vous regardez la situation et vous n’êtes plus heureux ; vous n’êtes plus au présent à ressentir de l’appréciation ou de la gratitude. Vous voyez la situation comme un problème ; c’est ce que vous avez à nettoyer.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Ce que nous faisons, pour la plupart, c’est simplement agir ; en fait, nous n’agissons même pas, nous réagissons aux autres, nous réagissons aux pensées, nous réagissons aux bulletins d’information, nous réagissons à la vie. Nous ne répondons pas, nous ne sommes pas inspirés, nous ne partons pas de cet espace de contact avec le Divin. Par ce nettoyage constant, nous pouvons y arriver.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
« Vous savez, essayer de changer le monde extérieur des autres, c’est comme être debout devant le miroir de votre salle de bain le matin et maquiller ou raser le miroir. »
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Plusieurs personnes ont dit que lorsqu’elles répètent les phrases, elles ne les « sentent » pas. Est-ce important qu’elles aient un sentiment ou une émotion en même temps ? Joe : J’aime cette question parce que je l’ai posée au docteur Hew Len quand j’ai commencé à étudier directement avec lui et il a dit : « Non, vous n’êtes pas obligé de les sentir, vous devez les dire. À mesure que vous continuerez de les dire, vous les sentirez. Cependant, lorsque vous commencez, ça peut être simplement machinalement ; vous ne faites que répéter les mots, lire un scénario, pour ainsi dire. » Par contre, quand on commence à y penser, je peux décrire ce qui se passe maintenant avec les quatre phrases parce qu’elles se sont ouvertes à moi. Je n’ai jamais dit ça avant, mais c’est presque comme un poème avec différents niveaux de sens. Ou bien comme une chanson ; lorsque vous l’entendez pour la première fois, c’est une chanson qui pourrait être entraînante et vous aimez son rythme ou quelques-unes de ses paroles. Mais, comme pour la chanson et le poème, à mesure que vous en savez plus sur les quatre phrases, elles finissent par représenter un coffre aux trésors. Donc, quand vous les dites, au début, ce ne sont que des mots. Par contre, lorsque vous persévérez, il y a un sentiment qui les accompagne.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
En fin de compte, quand vous regardez votre vie en vous disant que vous êtes la source de tout ce qui y entre, la loi d’attraction est toujours à l’œuvre. C’est pourquoi vous obtenez tout ce que vous attirez. Mais, lorsque vous n’aimerez pas ce qui vient à vous, que ferez-vous ? Comment changerez-vous votre vie ? Ho’oponopono est la technique pour « effacer ». C’est ce que vous employez pour vous occuper des choses qui apparaissent et qui sont celles que vous ne voulez pas attirer.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
J’essaie d’imaginer un problème ici. Le patron qui a un problème avec un collègue par exemple ; du point de vue de la loi d’attraction, c’est que vous l’avez attiré. Bon, les sceptiques diraient : « Non, je ne l’ai pas attiré parce que je ne pensais pas à ça du tout. » Mais, une compréhension plus approfondie de la loi d’attraction est que vous attirez tout dans votre vie en fonction de vos croyances inconscientes. Pas ce qui constitue vos intentions conscientes, mais bien ce que vous avez comme intention inconsciente ; et, la plupart du temps, vous ne savez même pas ce qui est dans votre esprit inconscient. Voilà pourquoi ho’oponopono est si important. La technique nettoie la négativité dans l’esprit inconscient. À mesure que vous nettoierez ça, vous serez moins susceptible d’attirer quelque chose que vous souhaitiez ne pas attirer. Donc, les deux travaillent ensemble.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
si ce que nous attirons dans notre vie est la somme de notre esprit inconscient, nos pensées inconscientes, alors plus notre inconscient devient clair, plus nous attirerons ce que nous voulons.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Ho’oponopono est un moyen de faire en sorte que la loi d’attraction fonctionne mieux pour vous.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
« Tant que vous êtes inspiré de le faire, faites-le. » Autrement dit, si vous avez l’intuition, vous avez le sentiment qui monte en vous
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
Peu m’importe ce que quelqu’un pourrait proposer, la méthode Sedona, une technique de libération ou l’hypnose, ou n’importe laquelle des méthodologies qui sont là pour contribuer à enrichir votre vie ; vous l’améliorerez en faisant ho’oponopono en même temps.
Entrevue avec Joe Vitale, par Kory Basaraba
j’ai fait installer un tableau blanc sur la scène. Il était complètement blanc. Je l’ai regardé et j’espère qu’en m’entendant en parler, les gens peuvent visualiser un tableau blanc. Il n’y avait rien sur ce tableau blanc, il était juste blanc. Ensuite, j’ai invité les personnes dans l’auditoire à me nommer tous les moyens grâce auxquels nous pourrions nous guérir ou nous épurer, nous améliorer, toutes les techniques de développement personnel, que nous avons entrepris de noter sur le tableau. Ça s’est poursuivi quelques minutes jusqu’à ce que le tableau soit couvert d’écritures noires. Nous avons regardé le tableau et j’ai dit : « Bon, qu’est-il arrivé au tableau blanc ? Eh bien, il est maintenant couvert de ce qui, selon nous, nous aidera à atteindre le tableau blanc. » Le tableau blanc est mon image de l’état Zéro. C’est cet état où il n’y a que pureté ; il n’y a pas de pensées, pas d’émotions autres que celle qui pourrait être décrite comme l’amour, et dans cet état Zéro, ce tableau blanc, l’inspiration peut venir à vous.
Liste détaillée d’épuration par ho’oponopono de Saul Maraney
• Aucun expert en autonomisation ne sait ce qu’il fait. • Le travail du docteur Hew Len m’a enseigné à lâcher prise et à faire confiance au Divin tout en nettoyant constamment toutes les pensées qui montent et m’empêchent de l’entendre. • En nettoyant constamment, je peux extirper les mauvaises herbes de la mémoire pour pouvoir mieux faire face à la vie avec grâce et facilité. • Je sais que le Divin n’est pas un concierge. Je ne demande rien, je me contente de nettoyer. • Je continue de nettoyer. • Je suis responsable de tout dans ma vie et le moyen pour guérir n’importe quoi est simplement de dire : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • Je me vois comme la source de mes expériences. • Je suis désolé pour tout ce qui se passe en moi et me fait vivre cette expérience. • Le leitmotiv du docteur Hew Len est que rien n’est en dehors de nous. • Je suis responsable à cent pour cent. • Je demande pardon pour tout ce qui en moi cause la circonstance en dehors de moi. • Je reprends contact avec le Divin en disant : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • Le reste consiste à faire confiance au Divin parce qu’à mesure que je guéris, l’extérieur en fait autant. • Tout sans exception est en moi. • Je sais que la vraie source de pouvoir est l’inspiration. • Je suis en accord avec la
Liste détaillée d’épuration par ho’oponopono de Saul Maraney
• Je suis en accord avec la vie, pas en contradiction avec elle. • Je suis le courant tout en nettoyant constamment tout ce qui se présente. • Je lâche prise et je laisse le Divin agir à travers moi. • En nettoyant, je vois un changement complet et amélioré. • Je nettoie mes propres pensées toxiques et je les remplace par l’Amour. • Il n’y a rien qui ne va pas chez les gens. Mes mémoires erronées sont la seule chose qui ne va pas. • J’aime tout. • Le processus d’Identité de Soi par ho’oponopono demande d’assumer l’entière responsabilité de moi-même et d’autoriser la suppression des mauvaises énergies indésirables en moi. • Je suis à l’aise et je m’amuse. • Je ris beaucoup, j’ai du plaisir et j’aime ce que je fais. • Les choses ont commencé à changer pour moi. • Ma vie s’améliore sans effort conscient de ma part. • Je nettoie tout ce qui se passe en moi. • J’aide les gens en travaillant sur moi. • Je nettoie continuellement et j’agis en fonction des idées et des occasions qui se présentent à moi. • Je sais que peu importe où je serai dans le futur, ce sera beaucoup mieux que ce que je peux imaginer en ce moment. • Je suis plus intéressé par ce moment que par le suivant. • Lorsque je suis attentif à ce moment, tous les moments suivants se déroulent agréablement. • Quand je renonce à mon moi et à ses désirs, je permets au Divin de me guider. • J’ai pris conscience que mes intentions sont des limites parce que je ne peux pas tout contrôler. • Je sais que lorsque je remets les commandes à une puissance supérieure, des miracles ont tendance à se produire. • Je commence à lâcher prise et à faire confiance. • Je commence à mettre en pratique mon lien avec le Divin. • J’apprends à reconnaître l’inspiration quand elle vient et j’agis en fonction d’elle. • Je me rends compte que j’ai le choix, mais que je ne suis pas maître de mon esprit. • Je sais que la plus grande chose que je peux faire est d’accepter chaque moment. • Alors, des miracles se produisent, et lorsqu’ils se produisent, ils me stupéfient constamment. • Une fois qu’un éveil se produit, il n’y a pas de retour en arrière. • Tout ce que je peux faire, c’est continuer à nettoyer pour faire l’expérience de la béatitude de ce moment. • Nous aurons toujours des problèmes et l’Identité de Soi par ho’oponopono est un processus qui travaille à les résoudre. • Tant que je continue de nettoyer, je reviens à Zéro limite. • Je syntonise l’Amour en répétant sans arrêt : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • À mesure que je continue de nettoyer, je continue de syn-toniser l’inspiration pure. • Quand j’agis suivant l’inspiration, il se produit des miracles encore meilleurs que ceux que j’aurais pu imaginer. • Tout ce que j’ai à faire, c’est persévérer étant donné qu’ho’opo-nopono prend du temps.
Témoignages de belles réussites
j’essaie la méthode sur la bataille que j’ai toujours menée contre l’obésité. J’ai nettoyé l’idée que j’étais fatiguée de toute l’énergie négative qui vient avec mon obsession et mon angoisse à propos de ce que je mange. Plus tard, dans la journée, j’assistais à un atelier de développement professionnel. Durant la présentation, j’ai entendu quelqu’un se déplacer derrière moi. En me retournant pour regarder, j’ai vu un employé poser un énorme plateau chargé de petits gâteaux au chocolat et de coquetels de fruits sur le petit comptoir derrière moi pour notre collation d’après-midi. Je me suis détournée sur ma chaise vers le présentateur et je me suis rendu compte que la pièce était inhabituellement silencieuse. J’ai regardé autour de moi, soupçonneuse devant le silence, en pensant que je verrais tout le monde me dévisager. Personne ne me regardait et j’ai été de nouveau intriguée par le silence. Je me suis mise à réfléchir et je me suis aperçue que le silence n’était pas dans la pièce… les gens continuaient de bouger sur leur siège, de soupirer, de tapoter avec leur crayon et de se racler la gorge ; il y avait tous les bruits courants dans un atelier. C’est alors que je me suis aperçue que le silence était en moi et son origine m’a frappée de plein fouet. J’ai tout de suite su avec certitude qu’il marquait l’absence du dialogue que j’entretiens habituellement avec moi-même sur la nourriture. De façon typique, la vue de ces petits gâteaux au chocolat aurait rempli mon esprit d’une suite bavarde de commentaires comme « ils ont l’air bons, mais tu ne peux pas en avoir », ou « si tu manges l’un de ces petits gâteaux, tu seras encore plus grosse », ou « tout le travail que tu as fait hier soir sur le tapis roulant sera annulé par l’un de ces gâteaux », ou « regarde cette vieille peau maigrelette là-bas… elle en mangera probablement quatre et ne prendra pas un gramme… non, non, je parie qu’elle n’a jamais mangé de petits gâteaux au chocolat de sa vie parce qu’elle a plus de volonté que j’en ai dans mon popotin pourri ». Et le bavardage se serait poursuivi interminablement… Blablabla. J’ai pris conscience que je ne pouvais pas me souvenir d’une autre occasion où je n’avais pas eu ce genre de dialogue intérieur sur la nourriture. Ce jour-là, j’ai regardé les petits gâteaux derrière moi. Je n’en voulais pas parce que j’avais pris un déjeuner exquis, et dans mon esprit, il n’y avait que le silence. J’étais vraiment stupéfaite. À présent, je fais ho’oponopono régulièrement. J’ai fait un économiseur d’écran pour me souvenir de l’appliquer. J’ai peint de petites aquarelles avec les phrases, je les ai fait encadrer et accrocher dans la maison comme aide-mémoire. Je ne suis pas parfaite grâce à ho’oponopono, mais j’ai fait beaucoup de progrès. Le progrès bat la perfection à plate couture parce qu’il est réel. Tammy Blankenship
Vous avez un problème ?
C’était une prise de conscience énorme, une prise de conscience que je n’aimais pas. Je voulais que ma souffrance soit la faute de ce parent. Je voulais qu’il change. Je ne voulais pas que toute cette croissance ne se fasse que de mon côté.
Vous avez un problème ?
« Je suis désolé qu’un aspect de mon être, de ma programmation ou de mon ascendance ait déclenché ce jugement sur moi et ma musique. Je suis désolé d’avoir dramatisé et oublié ma paix. Je suis désolé que ma programmation inconsciente ait poussé mon parent à me juger sévèrement. » S’il te plaît, pardonne-moi d’avoir jugé qu’il est insensible. S’il te plaît, pardonne-moi d’avoir cette sensibilité à la critique en moi. S’il te plaît, pardonne à mes ancêtres ce qu’ils ont fait ou pensé qui a inscrit ce système de croyances en moi aujourd’hui. S’il te plaît, pardonne-moi d’être inconscient de mes pensées intimes. » Merci d’avoir fait monter cette croyance et cette donnée à ma conscience. Merci d’entendre ma demande d’effacer cette donnée de mon esprit et de tous les esprits. Merci de m’aider à apprécier le fait que mon parent m’a donné cette occasion de nettoyer, d’épurer et de me libérer. Merci de me rappeler l’amour sous toute cette noirceur. » Je t’aime, j’aime mon parent, je m’aime, j’aime mes ancêtres et j’aime le Divin parce qu’il a effacé toutes les limites et données en moi pour que je puisse être ici et maintenant afin de vivre le miracle de ce moment et le miracle de l’amour. Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime. » Fait assez intéressant, dès que j’ai exprimé ma demande ho’oponopono à voix haute, j’ai senti un mouvement en moi. En fait, c’était une épuration tellement profonde que j’ai eu du mal ensuite à me souvenir de ce que mon parent avait dit !
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Morrnah avait le sentiment que tout était sacré dans la vie. Et elle prenait cela au pied de la lettre. Il n’y avait pas d’exception. Elle voyait les objets inanimés comme étant animés. Elle était l’animisme incarné. Tout était et est vivant. Elle disait que la chose la plus importante était de respecter tout ce qui vit.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
vous vous êtes fait offrir un Biscuit Arc-en-ciel. Ce Biscuit est un outil qui vous est offert pour que vous l’utilisiez spécifiquement pour votre problème de poids. Mangez-en souvent. Imaginez que vous mangez des biscuits pour perdre du poids. La méditation s’est terminée. Et c’est fait ! » Pour Morrnah et d’autres vétérans d’ho’oponopono, l’imagerie était tout aussi réelle que la réalité physique.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Morrnah croyait que le monde imaginaire est aussi substantiel que le monde réel. Elle disait souvent que l’on n’a pas besoin d’eau pour nettoyer, par exemple, que l’on peut en fait l’imaginer. Le même nettoyage se fera. Le docteur Hew Len dit souvent que l’eau bleue « solarisée » est un outil de nettoyage que l’on obtient en versant de l’eau ordinaire dans une bouteille bleue et en plaçant celle-ci une heure au soleil, mais Morrnah a enseigné que tout ce qu’il faut, c’est l’image mentale de l’eau bleue solarisée. Tout se passe dans l’esprit.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
l’homme est parfaitement ignorant des influences qui agissent sur lui et, étant ignorant de la cause, constamment assujetti à leur effet. »
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Morrnah était considérée comme l’une des dernières vraies kahunas de la vieille école, mais elle utilisait son pouvoir pour le bien. La différence était qu’à travers tous ses enseignements, elle était axée sur la guérison personnelle. Votre bien-être est suffisant pour influencer les autres. Un jour, elle est allée dans un hôpital pour rencontrer le directeur de l’établissement. Elle lui a expliqué que pour que son hôpital soit plus efficace et efficient, il devait se guérir lui-même. Elle s’est assise avec lui et lui a lu sa prière. Comme elle l’a raconté, l’hôpital s’est amélioré dès le lendemain.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Morrnah était axée sur la guérison. Je suis certain qu’elle voulait que les formes-pensées aient une intention favorable. Elle a ouvertement admis qu’il y avait des sorciers qui pratiquaient la magie noire. Elle a avoué qu’ils l’avaient employée contre elle et avaient essayé de lui faire du mal. Elle savait qu’il y a une force du bien et une force qui l’est beaucoup moins. En fait, les premiers kahunas d’Hawaï étaient souvent des sorciers maléfiques
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Morrnah a enseigné de façon répétée que sa prière était le moyen d’effacer la programmation. Le secret consiste à la répéter quatre fois. Elle a aussi dit que personne n’a besoin d’être au courant. Elle a expliqué que le nom de la personne est tout ce dont on a besoin.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Selon Morrnah, nous sommes des ordinateurs. Nous sommes remplis de programmations reçues sans intervention de notre part. Nous sommes nés sur une ligne de temps qui n’a pas commencé à notre naissance, mais avant celle-ci. Morrnah croyait à la réincarnation, mais disait que chacun était unique. Qu’il y avait bien plus dans le bagage avec lequel nous sommes arrivés dans cette vie que ce que nous pouvions en voir. Que nos esprits étaient déjà programmés avec des données, dont la plupart ne nous étaient plus nécessaires et qui empêchaient le Divin de nous inspirer. Comme elle l’a enseigné au docteur Hew Len et comme il me l’a enseigné à son tour, notre seule fonction est de nettoyer nos données. Même quand nous avons un problème avec quelqu’un, ce problème est en nous, pas en l’autre
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Morrnah avait le sentiment que nous devions couper tous les cordons d’aka pour être libres afin que le Divin puisse agir à travers nous. Quand elle allait dans les hôpitaux, sa vision « radiographique », si je puis dire, pouvait voir l’âme des défunts qui restaient sur place. Son ho’oponopono portait sur le nettoyage karmique. Une fois qu’elle coupait les liens les rattachant à cette dimension, les âmes poursuivaient leur cheminement. Sa méthode consistait à réciter sa prière de nettoyage favorite. Elle la comparait au Notre-Père, mais la préférait à ce dernier pour dissoudre les liens. C’était son inspiration de le faire de cette manière. Elle a donné cette prière au monde en cadeau pour que nous nous en servions librement.
Morrnah était-elle « cinglée » ?
Elle disait souvent que l’on était libre quand on coupait les cordons d’aka, c’est-à-dire les liens qui nous attachent aux gens et aux choses. Elle comparait l’aka, ou lien invisible nous reliant à une autre personne, à une ligne téléphonique. Selon elle, quand on passe du temps avec une personne, une chose ou à un endroit, on crée un attachement – un lien invisible qui demeure même quand on quitte cette personne, cette chose ou cet endroit.
Vous ne serez plus jamais le même
Si vous vous débattez avec un problème tenace dans votre vie, comprenez qu’il n’a rien à voir avec vous ou quelqu’un d’autre. Le problème est un programme. Il est en vous, comme une bactérie ou un virus. Il est d’ordre psychologique. C’est ce qu’ho’oponopono appelle une « mémoire ». Nous ignorons son origine et nous n’avons pas besoin de la connaître. Nous avons simplement besoin de l’effacer. Comment ? En pratiquant le véritable ho’oponopono.
Liste détaillée d’épuration par ho’oponopono de Saul Maraney
• Je ne gouverne pas mes pensées, mon seul choix est d’agir (ou non) une fois qu’elles apparaissent. • Je nettoie mon inconscient pour avoir de meilleures pensées. • Je nettoie pour vider les programmes entreposés dans mon esprit. • À mesure que je nettoie, les pensées qui montent deviennent plus positives, prévisibles et aimantes. • En assumant toute la responsabilité et en arrivant à Zéro, je me rends compte que les mémoires (programmes) des autres sont mes programmes. • Le fait même que les gens partagent des idées avec moi signifie que je les partage avec eux. • À mesure que je me défais de mes programmes, les autres le font aussi. • J’essaie de nettoyer et d’effacer sans arrêt tout ce qui se trouve entre moi et Zéro. • Je sais que lorsque je pars de Zéro, la synchronicité se produit. • En étant à Zéro, je permets au Divin de m’inspirer. • Le Divin a tout le pouvoir. Pas moi. • Je nettoie de façon à pouvoir entendre le Divin et à lui obéir.
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Liste détaillée d’épuration par ho’oponopono de Saul Maraney10 • Quand je vois un problème, je me demande : « Qu’est-ce qui se passe en moi pour que j’aie causé ce problème ? Et comment puis-je rectifier ce problème en moi ? » • Mon travail consiste à me nettoyer. À mesure que je me nettoie, le monde est épuré parce que je suis le monde. Tout en dehors de moi est une projection et une illusion. • C’est ma responsabilité de régler tout ce que je vis à l’intérieur de moi en entrant en contact avec le Divin. Je dis « je t’aime » au Divin pour tout régler à l’extérieur. • Je nettoie mes mémoires. • La souffrance en moi est une mémoire partagée. (Le docteur Hew Len savait que c’était un programme qui poussait les patients à agir comme ils le faisaient. Ils ne maîtrisaient rien. Ils étaient prisonniers d’un programme.) Quand je perçois un problème, je nettoie. • Je nettoie les vieilles mémoires accumulées dans mon esprit subconscient. • Je répète en boucle les quatre phrases dans mon esprit en m’adressant au Divin pour faire taire mon bavardage mental : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci.
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Je nettoie constamment tout étant donné que je ne sais pas ce qui est une mémoire et ce qui est une inspiration. Je nettoie constamment pour atteindre l’état Zéro limite. • Mon esprit n’a qu’une vision infime du monde. • Mon cerveau me dit quoi faire avant que je décide consciemment d’agir. Cela veut dire que les intentions viennent de mon esprit inconscient et pénètrent ensuite dans ma perception consciente. • Des expériences approfondies ont montré qu’une recrudescence d’activité se produit systématiquement dans le cerveau environ un tiers de seconde avant l’intention. • Il est prouvé que je ne peux pas maîtriser l’origine du signal qui me pousse à agir. • Aucune intention ne naît jamais dans la conscience. • Les intentions sont des prémonitions : elles sont les icônes qui clignotent dans un coin de la conscience pour indiquer ce qui est peut-être sur le point de se produire. • Je me suis rendu compte que les intentions ne relèvent pas du tout de mon choix. • Seules deux lois dictent mon expérience : l’inspiration de la Divinité (nouveau) et les mémoires accumulées dans le subconscient (ancien). • Zéro est ma résidence et celle de la Divinité. C’est l’état à partir duquel et de qui affluent toutes les bénédictions, toute la richesse et toute la paix. • Je regarde au-delà de l’inspiration et vais à la source : Zéro. • J’aime, je pardonne et je « remercie » pour mes préoccupations. • En nettoyant mes mémoires, le Divin a une chance de venir à moi avec l’inspiration.
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• Les problèmes financiers ne sont que des mémoires qui rejouent. Ce sont des mémoires qui supplantent Zéro (moi). Pour revenir à Zéro, j’ai besoin que la Divinité efface les mémoires derrière mes problèmes financiers. • Les problèmes financiers sont un programme. • Je nettoie les problèmes de la mémoire pour qu’elle disparaisse. Je retourne à la paix. • L’intention est une « chiffe molle » comparativement à l’inspiration. • Je m’abandonne à l’inspiration. • L’inspiration arrive subitement, en quelques secondes. • Je reçois les idées qui viennent de l’inspiration. • Au lieu d’énoncer des intentions, je saisis les occasions. • Quand je pars de Zéro où il y a Zéro limite, je n’ai pas besoin d’intentions ; je reçois les inspirations, j’agis simplement en les suivant et des miracles se produisent. • Le libre arbitre se manifeste après que j’ai eu l’élan de faire quelque chose – avant que je fasse le geste. • En nettoyant constamment toutes les pensées, qu’elles viennent de l’inspiration ou des mémoires, je pourrai mieux choisir ce qui est juste sur le moment. • Les problèmes financiers sont des programmes de ma mémoire, pas une inspiration du Divin. • Je dois aimer mes programmes mémoriels jusqu’à ce qu’ils se dissolvent et qu’il ne reste plus que la Divinité. • Tout ce que je vois et dont je fais l’expérience est en moi. • Si je veux changer quoi que ce soit, je le fais en moi. • Je prends l’entière responsabilité de toute ma vie. • Chaque fois que je vis un problème, je suis toujours là. • Je suis responsable de tout. • Je comprends que les gens agissent à partir d’une mémoire ou d’un programme. Pour les aider, je dois effacer le programme. Et le seul moyen de le faire est par le nettoyage : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • J’arrange les choses. • Je libère l’énergie des pensées douloureuses (mémoires) qui causent un déséquilibre. • Toute résolution de problèmes se fait en moi. • J’efface mes mémoires et mes programmes. • Tout ce qui apparaît dans ma vie n’est qu’une projection de mes programmes. • Tout en alignement : Le subconscient (l’enfant) ; Le conscient (la mère) ; La supraconscience (le père).
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• Mon travail consiste à nettoyer la mémoire, de sorte qu’elle me quittera comme elle quittera l’autre personne. • Ho’oponopono exige un engagement. • Le Divin n’est pas du genre à recevoir des ordres. • Il faut focaliser constamment sur nettoyer, nettoyer, nettoyer. • Je dissous les programmes limitatifs que je vois et ressens.
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• Mon esprit conscient ne sait absolument pas ce qui se passe. • Mon esprit conscient n’a que quinze bits d’information à sa disposition, alors qu’il y en a quinze millions en circulation à tout moment. • Je dois lâcher prise et faire confiance. • Je reste dans ce moment. • Quand je dis « je t’aime », j’essaie de tout nettoyer dans ce moment. • Quand je dis « je t’aime », j’invoque l’esprit de l’Amour afin qu’il guérisse en moi ce qui crée ou attire mes circonstances extérieures. • Je guéris en moi le programme caché auquel nous participons tous les deux. • Je vise à trouver la paix. • Il n’y a rien à l’extérieur. Le seul endroit où regarder est en moi. • Je ne planifie pas ; je fais confiance à la Divinité. • J’aime, j’admets et j’apprécie tout. • Je dis « je t’aime » pour demander au divin Créateur d’annuler (Zéro) les mémoires dans mon esprit subconscient et de les remplacer dans mon âme et l’âme de tous par les pensées, les paroles, les actes et les actions de la Divinité. • Je suis responsable à cent pour cent. • La Divinité transforme l’énergie bloquée. • Je me nettoie et m’interroge : « Qu’est-ce qui se passe en moi pour que ceci se manifeste en eux ? » • Mon esprit conscient n’a absolument aucune idée de ce qui se passe ! • Je ramène mon esprit à Zéro, complètement vierge de données. • Ho’oponopono est un processus constant, incessant d’annulation pour que je puisse revenir à Zéro. • C’est uniquement à Zéro que la création (l’inspiration) a lieu. • Je me pose la question : « Que dois-je nettoyer que je ne sais pas ? Je n’ai aucune idée de ce qui se passe ! » • Mon esprit peut seulement servir la mémoire ou l’inspiration. Et seulement une à la fois. • L’inspiration divine est en moi. • Tout en moi est en alignement : La supraconscience (le père), Amakua ; Le conscient (la mère), Uhane, et ; Le subconscient (l’enfant), Unihipili. • Quand je suis à Zéro, tout est disponible. • Je suis créé à l’image du Divin : le Vide et l’Infini. • Je me libère de mes mémoires. • Si j’ai un problème avec une autre personne, cela veut dire qu’il y a une mémoire qui monte et à laquelle je réagis. Ce n’est pas l’autre personne. • Je pose cette question à la Divinité : « Que se passe-t-il en moi pour que j’aie causé la souffrance de cette personne ? » • Ensuite, je demande : « Comment puis-je rectifier ce problème en moi ? » • Je travaille sur moi, pas sur les autres. • Si une idée est encore là après trois nettoyages, j’agis en fonction d’elle. • Je ne planifie pas, je fais confiance au Divin pour s’occuper des problèmes (mémoires). • Si quelque chose est dans mon expérience, il faut que je le nettoie. • Toutes les expériences sont partagées. • Je crée tout dans ma réalité. • J’ai attiré ma situation et je me pardonne, comme je pardonne à l’énergie entourant le problème. • Je change l’énergie en moi. • Je m’aime pour aimer les autres. • Je me souviens de qui je suis en vérité. • Ma vraie nature est d’aimer. • De nouveaux clients affluent vers moi. • Le succès vient facilement à moi. • Je me nettoie et je m’épure.
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avec d’autres personnes. • L’Identité de Soi par ho’oponopono est un processus de résolution de problèmes par le repentir, le pardon et la transmutation, que toute personne peut appliquer à elle-même. C’est un processus demandant à la Divinité de « convertir » à Zéro les mémoires erronées dans notre subconscient. • L’esprit conscient ne comprend rien, il n’a aucune idée de ce qui se passe. • Donc, je demande à la Divinité (qui connaît tout) de convertir à Zéro toutes les mémoires qui rejouent dans mon Unihipili (esprit subconscient). • Les attentes et les intentions n’ont pas d’effet sur la Divinité. La Divinité fera tout ce qu’elle voudra au moment où elle le voudra. • Pour ouvrir la voie à l’afflux du Divin, il faut d’abord annuler les mémoires. • Tant que les mémoires (blocages, limites) sont présentes dans mon subconscient, elles empêchent la Divinité de me donner mon Inspiration quotidienne. • À mesure que je nettoie, je me rapproche de l’expérience de la béatitude de l’état Zéro limite. • J’agis suivant les idées qui me viennent. • Les idées apparaissent dans mon esprit et j’agis en fonction d’elles. • Le plus important de tout est de continuer à nettoyer – à mesure que je le fais, des idées me sont données.
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• J’en suis venu à voir que ce sont mes pensées qui créent ma vie telle qu’elle est à chaque instant. • Les problèmes ne sont pas les gens, les endroits ou les situations, mais les pensées à leur sujet. • J’en suis venu à apprécier le fait qu’il n’y a rien à l’extérieur ! • La qualité de ma vie a remarquablement changé ! • Je fais continuellement l’Identité de Soi par le processus ho’oponopono de repentir, de pardon et de transmutation pour tout ce qui se passe en moi dont je fais l’expérience consciemment ou inconsciemment. • J’assume entièrement ma responsabilité de nettoyer tout ce qui, en moi, est la cause des problèmes que je vis. • Je suis parfait ! Ce qui est imparfait, ce sont les mémoires (conneries), qui réagissent et rejouent sous forme de jugement, de ressentiment, de colère, d’irritation, et le reste du bagage qui est véhiculé par mon âme.
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• Les gens qui se montrent ouverts sont un reflet de moi ! • Je change mon intérieur afin de changer mon extérieur. • Je regarde en moi pour voir ce qui est en moi et partage l’expérience que je vois en dehors de moi. • Je ne m’occupe pas de la personne ou du problème, je m’occupe des sentiments que je ressens. • À mesure que je nettoie ce qui est en moi, ceux-ci seront épurés à leur tour et guériront. • J’ai commencé à me rendre compte que je suis responsable de ce que tous les gens disent et font, simplement parce qu’ils sont dans mon expérience. • Si je crée ma propre réalité, alors j’ai créé tout ce que je vois, même les parties que je n’aime pas. • C’est sans importance, ce que font les gens ; l’important, c’est ce que je fais ! • Je nettoie l’énergie partagée en disant au Divin : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • Je ne fais pas la guérison pour obtenir quoi que ce soit ! Je la fais pour épurer l’énergie partagée, de sorte que plus personne n’ait plus jamais à en refaire l’expérience. • L’Identité de Soi par ho’oponopono est un processus de nettoyage et je ne cesse jamais de le faire. • Si quelque chose se présente à ma conscience, alors c’est à moi de le nettoyer et de le guérir. • Je dois nettoyer tout ce qui fait partie de mon expérience de vie. • Si je suis le créateur de ma propre expérience, alors ceci est quelque chose dont je suis également responsable. • Le processus d’Identité de Soi par ho’oponopono est tout Amour… il se poursuit et je suis totalement responsable. • Je dis ces phrases à la Divinité pour me nettoyer : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • La Divinité m’abreuve déjà d’Amour à Zéro, mais je ne suis pas encore là. • En disant : 1. Je t’aime ; 2. Je suis désolé ; 3. Pardonne-moi, s’il te plaît ; 4. Merci ; Je nettoie en moi les programmes qui m’empêchent d’être à Zéro. • Le Divin n’a pas besoin que je fasse l’Identité de Soi par ho’oponopono ; j’ai besoin de le faire ! • Le seul moyen de guérir quelqu’un est de me nettoyer. Les personnes avec des problèmes dans ma réalité partagent un programme avec moi. Elles l’ont attrapé comme un virus de l’esprit. Elles ne sont pas à blâmer ! • Tout ce que je peux faire, c’est me nettoyer, parce qu’à mesure que je me nettoie, elles s’épurent. • À mesure que je nettoie les programmes que nous partageons, elles sont élevées au-dessus de toute l’humanité. • Tout ce que je fais, c’est nettoyer, nettoyer, nettoyer. • Nettoyer est la chose la plus sincère que je peux faire. Le reste relève de la Divinité. • Je crée toutes les situations qui font partie de ma réalité parce qu’elles font partie de mon expérience. • Il faut que je les nettoie. • À mesure que je me guéris, la personne avec le problème ira mieux, de même que tous ceux qui partagent le programme. • Je sais que le choix est une limite. Je fais l’expérience de la magie et des miracles et je me sens exalté par la vie.
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• Tout est vivant. • Je déborde d’énergie. • Je n’essaie pas de gouverner ma vie. Je dois lâcher prise. Tout ce que je fais, c’est nettoyer, effacer et avoir l’intention de revenir à Zéro. • J’ai le pas allègre. • Tout ce que je crée est l’un de mes enfants. Je dois aimer tous mes « enfants ». • Avant, j’essayais de résoudre les problèmes. Maintenant, je les laisse en paix. À présent, je nettoie les mémoires qui les ont causés. • À mesure que je nettoie, mes problèmes se voient résolus. • Je n’essaie pas de changer les gens, je travaille sur moi. • Parce que je perçois et sens la souffrance des autres, cela veut dire que je partage le même programme et que je dois le nettoyer. À mesure que je le fais, le problème s’effacera de moi et d’eux aussi. • La gratitude, la vénération et la transmutation peuvent transformer n’importe quoi. • Ces phrases sont comme les mots magiques qui ouvrent le cadenas à combinaison de l’univers : 1. Je t’aime. 2. Je suis désolé. 3. Pardonne-moi, s’il te plaît. 4. Merci. • Quand je dis ces phrases, je m’ouvre au Divin pour qu’il me nettoie et efface tous les programmes (mémoires) qui m’empêchent d’être moi dès maintenant. • Il y a dans le monde des mémoires (programmes) que les gens attrapent comme un virus. • Quand quelqu’un l’a et que je m’en rends compte, cela veut dire que je l’ai aussi. • L’idée est d’assumer la responsabilité à cent pour cent. • Quand je me nettoie, j’efface la mémoire (le programme) dans tout le monde. • J’ai beaucoup de nettoyage à faire pour me rendre à Zéro. • Tout ce que veut chacun de nous est d’être aimé ! • Ma seule option dans la vie est de nettoyer parce que je veux être le fruit de l’amour et de l’inspiration. • Si je suis épuré, quand l’inspiration vient, je ne fais qu’agir, je n’ai pas besoin d’y penser. • Quand je nettoie mes mémoires, je n’ai pas de choix, j’ai juste l’inspiration et j’agis à partir d’elle sans réfléchir. Elle est, tout simplement ! • Chacun a son propre instrument à jouer. Personne n’est pareil. • Je dois jouer mon propre rôle et pas celui d’un autre. • Tout ce que je fais, c’est être moi-même. Je joue mon rôle dans le scénario de l’univers. • Quand je joue mon rôle, le monde fonctionne ! • J’ai un libre arbitre total. Je crée en même temps que je respire, mais pour vivre à Zéro, j’ai besoin de me défaire de toutes les mémoires. • Mon esprit conscient essaiera de tout comprendre, mais mon esprit conscient n’est conscient que de quinze bits d’infor-mation, alors qu’il y en a quinze millions qui circulent en tout temps. • Mon esprit conscient ne sait absolument pas ce qui se passe en réalité.
Liste détaillée d’épuration par ho’oponopono de Saul Maraney
• Les mémoires maintiennent l’argent à distance. Si je suis clair à propos de l’argent, j’en aurai. • L’univers me donnera de l’argent si je l’accepte. Ce sont mes mémoires qui gardent l’argent loin de moi et m’empêchent de le voir. • Quand je suis à Zéro, j’ai Zéro limite et l’argent peut main-tenant venir à moi ; par contre, quand je suis dans une mémoire, je l’en empêche. • Il y a de nombreuses mémoires entourant l’argent. À mesure que je les nettoie, je les nettoie pour tout le monde. • Quand j’amène mon être plus épuré avec moi, l’endroit où je suis le ressent. • Je donne librement de l’argent. C’est seulement de l’argent. • L’univers me récompense de ma générosité. Je donne et l’univers me redonne l’inspiration. • Je reçois l’inspiration en retour. • Tant que je reste ouvert aux idées venant de l’univers, elles continuent d’affluer. • Lorsque je nettoie et que je lâche prise sur mes besoins, je reçois les idées. • Tout ce que tout le monde veut est d’être aimé. Je dois aimer les autres. • Je dois aimer les gens parce qu’ils font partie de ma vie. En les aimant, je contribue à effacer, à nettoyer et à épurer les mémoires activées dans leur vie. • Tout ce que je perçois comme mon problème n’est pas la vraie difficulté. C’est seulement mon interprétation consciente des évènements. Ce qui se passe en réalité est en dehors de ma perception consciente. Mon histoire n’est que le point de départ. • Je continue seulement de dire « je t’aime » au Divin en ayant confiance que tout ce qui a besoin d’être nettoyé le sera. • Quand quelqu’un a un double prénom, cela crée une double personnalité. Tout le monde a besoin d’avoir son propre prénom. • Je commence à me détendre et à me sentir de nouveau entier. • Les thérapeutes croient qu’ils sont là pour aider ou sauver les gens. En réalité, leur travail consiste à se guérir eux-mêmes des programmes qu’ils voient chez leurs patients. • À mesure que ces mémoires sont annulées chez le thérapeute, elles sont annulées chez le patient. • C’est important que j’aime les gens avec qui je suis. • Parce que les gens que je vois sont mon miroir et que je partage ce dont ils font l’expérience, nettoyer le programme partagé guérira les deux parties. • Nous croyons que nous sommes des acteurs conscients, mais nous avons tort ! Par certains côtés, nous sommes les marionnettes du Divin par l’énergie en nous qui tire nos ficelles. • Je vis dans un monde alimenté par les croyances. Tout ce que je crois marchera. C’est ce qui me propulsera à travers la journée et façonnera mes expériences en perceptions qui ont du sens pour moi. • Ho’oponopono et les intentions sont efficaces seulement quand je m’ôte de mon chemin. • Mon esprit se met en travers du chemin du flux naturel des choses. • Un esprit plein de mémoires est l’obstacle à l’expérience de la béatitude du moment. • J’utilise les méthodes de nettoyage pour éradiquer ce qui fait obstacle au Plan divin. • Mes élans me sont envoyés par le Divin. Mon angoisse à leur sujet est l’obstacle. • En écartant l’obstacle, je redeviens moi avec le Divin, c’est-à-dire de nouveau la marionnette et le marionnettiste. • Je suis venu en ce monde avec un don en moi. Une fois que j’aurai écarté l’obstacle qui m’empêche d’agir sur la base de mon don, j’agirai en ce sens.
Liste détaillée d’épuration par ho’oponopono de Saul Maraney
• Je serai la marionnette du Divin tout en étant le marionnettiste de ma vie. • Mon seul choix est de suivre le courant. • J’agis tout en obéissant à un ordre supérieur. • J’agis en suivant les idées sans que mon esprit interfère. • Je laisse les résultats être ce qu’ils sont, sachant et ayant confiance que tout fait partie du tableau plus vaste de l’univers. • Je lâche prise tout en faisant des gestes. • Tout le monde a son don et son rôle à jouer. • Je ne résiste pas à mon rôle. • Ce n’est pas la nourriture qui est dangereuse ; ce qui est dangereux, c’est ce que je pense d’elle. • Avant de manger quoi que ce soit, je dis mentalement à la nourriture « je t’aime ». • La clé pour le docteur Hew Len est de tout aimer. Quand j’aime une chose, elle change. • Tout commence par la pensée et le grand guérisseur est l’Amour. • J’assume l’entière responsabilité de ma vie et de mes expériences. • Je sais que ce que je vois dans les autres est en moi. • Il n’y a rien en dehors de moi, tout est en moi. • Peu importe ce dont je fais l’expérience, j’en fais l’expérience en moi. • Je fais l’expérience des gens en moi ; donc, ils n’existent pas à moins que je regarde en moi. • Nettoyer est le chemin pour rentrer à la maison. • Personne ne peut prédire sa prochaine pensée puisque les pensées elles-mêmes montent de l’inconscient.
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
L’une des caractéristiques du subconscient est qu’il n’a pas de retenue. Je veux le répéter encore une fois ; il n’a pas de retenue. Donc, si une mémoire monte, il imitera cette mémoire. Si une inspiration monte, il l’imitera ; par conséquent, vous devez commencer le processus de l’aider à faire la différence entre une mémoire et l’inspiration. La façon de vous y prendre est simplement de faire le nettoyage. Donc, vous l’étreignez, vous le bercez dans vos bras et vous lui dites : “Je t’aime, je t’aime.” Vous avouez tous les siècles de négligence. “Je suis désolé. S’il te plaît, pardonne-moi d’avoir été négligent, de t’avoir maltraité et de ne pas avoir pris soin de toi. Cela dit, on veut que tu aies un nom, alors lequel te conviendrait ?” Donc, l’enfant doit choisir le nom, pas la mère. L’esprit conscient ne fait que proposer des choses, puis l’enfant doit être celui [qui choisit], mais vous lui parlez déjà en disant : “J’ai ces quatre noms et peut-être qu’il y en a d’autres, mais nous cherchons un nom pour toi.”
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
le docteur Hew Len nous a guidés dans une méditation à la rencontre de notre enfant intérieur, méditation que j’ai incluse ici dans son entièreté. « Il y a une partie de vous, appelée “subconscient”, qui a besoin de savoir comment elle fonctionne. Je vais vous guider dans ça maintenant. Donc, si vous voulez bien fermer les yeux, et relaxer, en quelque sorte. C’est la relation la plus importante de la création. Plus importante que n’importe quelle relation physique que vous avez. Donc, si vous vous détendez simplement, les yeux fermés, je vais vous guider dans ce qui est pour moi la relation la plus importante de la création et c’est celle entre le conscient et le subconscient, ou ce que je vais appeler la “mère” et l’“enfant”. » La mère est l’esprit conscient qui a le choix et peut prendre soin de l’enfant ou ne pas en tenir compte. Donc, supposons que, pour l’instant, vous oubliez la terminologie où l’esprit conscient est en réalité l’aspect maternel de la création et le subconscient est l’enfant, et c’est l’enfant qui a toutes les mémoires depuis la création et il en est accablé. Accablé. » Si vous êtes déprimé, c’est l’inflammation dans l’enfant qui vit la dépression. Donc, nous voulons que cette relation fonctionne. Ce que vous voulez faire est donc d’y aller très lentement et de dire à cet enfant : “Oh, pour la première fois dans la création, je reconnais ta présence en moi.” » Donc, ce qui est important de faire, c’est reconnaître que vous êtes conscient qu’il y a cet être en vous appelé l’“enfant intérieur”. Et vous vous adressez à cet enfant intérieur en disant : “Oh, wow. C’est la première fois que je me rends compte que tu fais partie de moi.” Ensuite, la deuxième chose que vous devez lui dire est quelque chose de très simple. “Je t’aime. Je t’aime.”
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
vous devez toujours demander la permission à l’enfant. Vous ne devez jamais aller vers l’enfant sans lui demander la permission.
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
vous pouvez enseigner à cet enfant comment faire le nettoyage, donc vous pouvez le mettre sur le pilote automatique, mais si vous ne l’avez pas reconnu ou n’en avez pas vraiment pris soin, il ne le fera pas. » Pendant que vous caressez sa tête, vous pouvez dire : “Je t’aime. Merci de faire partie de moi et je suis désolé si je t’ai négligé. Peut-être que je ne prends pas bien soin de toi. Si je t’ai manipulé, je suis désolé.” Ensuite, vous faites une sorte d’inventaire. Vous parlez à l’enfant de toutes les mémoires qui repassent comme un problème et vous lui dites : “ Si ça ne t’ennuie pas, aide-moi à lâcher prise.” Puis, vous commencez au sommet de votre tête, si vous avez mal à la tête. » Si vous avez mal au dos, vous travaillez votre corps en descendant. Vous faites l’inventaire et vous dites à l’enfant : “Oh, j’ai ce mal de tête. S’il te plaît, laisse partir les mémoires qui rejouent ça. Je ne sais pas ce que sont les mémoires. Je ne veux même pas le savoir, mais toi, tu le sais.” Ensuite, nous pouvons les offrir à la Divinité par l’entremise de la supraconscience. Nous pouvons demander à la Divinité de les libérer.
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
demandez à l’enfant la permission de le serrer doucement dans vos bras, pas une étreinte vigoureuse. Les étreintes énergiques font peur à l’enfant, donc vous lui dites : “S’il te plaît, laisse-moi te serrer très doucement dans mes bras.” Ensuite, faites-le, tout simplement. Étreignez simplement l’enfant avec douceur. Et vous bercez l’enfant dans vos bras et vous lui parlez. “Merci de faire partie de moi. Je t’aime et je suis désolé pour toutes les mémoires accumulées que tu as vécues comme de la douleur et de la souffrance. Je t’en prie, je t’en prie, pardonne-moi.”
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
Vous parlez à cet enfant qui est un bloc-mémoire. “Lâche prise, s’il te plaît.” Par conséquent, c’est la relation la plus importante, la plus essentielle de toute la création, entre la mère et l’enfant. Si la mère peut convaincre l’enfant, elle est tirée d’affaire. L’enfant l’aidera à faire le nettoyage, il sera disposé à lâcher prise, il sera disposé à l’informer intuitivement et à lui dire : “Il y a ceci qui remonte. Nous ferions mieux de nous en occuper !”
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
Si la relation entre la mère et l’enfant fonctionne, elle fonctionnera pour tout. Donc, vous le tenez par les épaules, vous le regardez dans les yeux et vous lui avouez : “Je t’ai ignoré. Je t’ai causé de la souffrance et du chagrin. Je suis désolé. S’il te plaît, s’il te plaît, pardonne-moi. Je t’aime. Merci d’être prêt à lâcher prise pour que toi et moi puissions être affranchis des mémoires, marcher main dans la main avec la Divinité et l’Amakua dans la lumière.” » Donc, vous pouvez faire ça le matin. Vous pouvez faire ça le soir. Vous pouvez prendre quelques minutes de votre horaire chargé pour reprendre contact, pour vous réaligner, et si vous êtes prêt à le faire, votre enfant intérieur sera votre partenaire
Le docteur Hew Len rend visite à votre enfant intérieur
Vous direz simplement : “Ô mon Dieu, pour la première fois, je suis conscient du fait qu’il y a cette partie de moi à laquelle je n’ai pas prêté attention, cette partie de moi que j’ai négligée, cette partie de moi que j’ai maltraitée, et j’en suis désolé.” Donc, vous reconnaissez que l’enfant est présent et vous dites simplement : “Je t’aime. Je t’aime. Merci, merci, merci d’être une partie de moi et je suis désolé qu’il ait fallu si longtemps, des siècles et des siècles d’incarnation, pour que j’en arrive à ce point et que je me rende compte qu’il y a ‘toi’ en moi et que je suis responsable de toi. Et je suis désolé de toute cette négligence que tu as vécue ; je t’en prie, pardonne-moi. Je suis désolé pour toute cette maltraitance que tu as subie ; s’il te plaît, pardonne-moi. Je suis désolé pour tout ce sacrifice de toi. J’ai fait passer les autres en premier et à ta place.”
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : J’ai remarqué que l’ordre des phrases n’est pas toujours le même. J’ai entendu dire que l’ordre est important, puis j’entends dire qu’il n’est pas important. Je crains de ne pas faire le processus comme il faut et j’ai peur que mon incompréhension ait un impact négatif sur le résultat. L’ordre a-t-il de l’importance ? R. : L’ordre dans lequel vous dites les phrases est sans importance. L’idée est de les dire. Suivez votre inspiration et dites-les inté-rieurement dans l’ordre qui vous semble le meilleur. Laissez-vous guider par vos sentiments.
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : Quand je nettoie, à qui dois-je adresser les phrases ? À moi ? À l’autre personne sur qui je nettoie ? Je suis confus. R. : Vous ne les dites jamais à l’autre personne. Ce que vous faites, c’est nettoyer la partie de vous qui perçoit l’extérieur comme un problème. Ce n’est jamais à propos de quelqu’un ou de quelque chose d’autre. L’extérieur est le déclencheur qui vous a poussé à vouloir changer quelque chose. Je le répète, vous ne voulez pas changer l’extérieur. Vous voulez changer l’intérieur. Vous utilisez les phrases d’épuration pour cela. Vous vous adressez au Divin – à personne d’autre.
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : Quand j’ai un problème et que je fais le nettoyage, est-ce que je focalise sur le problème ou la personne pendant que je nettoie ? Si mon fils a un problème et que je veux nettoyer pour lui, est-ce que j’envahis son espace personnel s’il ne me donne pas d’abord la permission de le nettoyer ? R. : C’est un peu comme la question précédente. Je le répète, vous ne focalisez pas sur l’autre personne. Vous focalisez sur vous. Le problème n’est pas à l’extérieur ; il est en vous. Vous focalisez sur le problème tel que vous le vivez. Vous le vivez toujours en vous. Comme le docteur Hew Len l’a souvent dit, « avez-vous déjà remarqué que lorsque vous avez un problème, vous êtes toujours là ? ». Le problème est en vous. C’est sur vous que vous vous concentrez et axez le nettoyage. Vous demandez au Divin de chasser l’énergie que vous ressentez en vous lorsque vous regardez à l’extérieur de vous et voyez le problème.
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : Faudra-t-il que je nettoie constamment et toute ma vie ? Cela me semble fatigant. C’est vraiment beaucoup de travail. Y a-t-il un autre moyen ? R. : Il y a tellement de données en ce monde – programmation, croyance et négativité – que notre défi dure toute la vie. Oui, vous devez continuer de nettoyer, mais à quel point est-ce difficile, vraiment, de dire intérieurement « je t’aime » et « merci » ? De plus, lors du dernier évènement Zéro limite, le docteur Hew Len nous a enseigné un raccourci à tout ça. Parce que votre enfant intérieur conserve toutes les données dans votre esprit inconscient, vous pouvez lui enseigner à nettoyer de telle sorte que lorsque votre esprit conscient oublie de nettoyer ou a besoin de faire une pause dans le travail, votre enfant intérieur continue de nettoyer en tout temps, peu importe ce qui se pass
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : Comment enseignons-nous aux autres à nettoyer ? R. : On n’en fait rien. Personne d’autre que vous n’a besoin de savoir quoi que ce soit à propos du nettoyage. Vous êtes le seul. Le docteur Hew Len a consacré les 25 dernières années à se nettoyer. Il dit ouvertement que nettoyer est la seule raison pour laquelle il est en vie. C’est sans importance si personne d’autre ne le fait. C’est important que vous le fassiez. L’une des choses que j’entends dire aux évènements est que les gens entendent parler de problèmes et conseillent ensuite aux autres : « Tu devrais nettoyer cela. » C’est une erreur. Chaque fois que vous entendez parler d’un problème, c’est à vous de le nettoyer. Commencez simplement par faire le nettoyage sur-le-champ. En fait, vous ne devriez jamais dire à quiconque de nettoyer quelque chose. C’est à vous de nettoyer tout ce que vous entendez ou vivez.
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : J’ai assisté à un évènement Zéro limite et je ne comprends toujours pas. De quoi s’agit-il en fait ? R. : À la base, il s’agit de retourner à la Divinité. Dans mon programme audio, Le cours en éveil, je dis qu’il y a quatre stades d’éveil. La plupart des gens ne quittent jamais le premier stade (l’état de victime). Grâce aux films comme Le secret et The Compass, beaucoup de gens sont en train d’atteindre le deuxième stade (l’autonomisation). Grâce au livre Zéro limite, certains sont conscients de l’existence du troisième stade (l’abandon), mais il y a aussi un quatrième stade. C’est là que vous vous éveillez à la Divinité. C’est là que le Divin respire consciemment à travers vous. Zéro limite est un moyen d’épurer toutes les données (les détritus mentaux) qui se dressent entre le Divin (Zéro) et vous. De quoi s’agit-il, en réalité ? Il s’agit de vous libérer des parasites dans votre esprit pour que le Divin vive à travers vous avec conscience et amour. Pour y arriver, nous avons beaucoup de travail à faire, alors continuons de nettoyer
Questions et réponses sur Zéro limite
Q. : « Je suis désolé ! » Est-ce que cela traduit des excuses ou de la tristesse ? De quoi dois-je être désolé quand tout dans l’univers est parfait ? Je n’aime pas être obligé de le dire. R. : Vous devez dire : « Je suis désolé, pardonne-moi, s’il te plaît, d’avoir été inconscient. » Cela n’a rien à voir avec le regret, la culpabilité, la honte ou le blâme, mais cela a tout à voir avec le fait de vous rendre compte que vous étiez endormi. Quand vous heurtez quelqu’un par inadvertance dans un magasin, vous dites « je suis désolé ». Pourquoi ? Vous avez commis une erreur. Vous étiez inconscient et vous avez fait quelque chose pendant que vous n’étiez pas présent. Quand vous vous adressez au Divin et dites ces phrases, vous lui faites savoir que vous étiez inconscient. Le pardon est l’un des outils de transformation parmi les plus puissants que vous avez. Si vous n’êtes pas disposé à demander pardon d’avoir été inconscient, vous bloquez probablement aussi le flux du Divin dans d’autres domaines de votre vie. Cela dit, j’ai déjà demandé au docteur Hew Len quoi répondre aux gens qui se plaignent d’avoir à dire « je suis désolé ». Il a répondu : « Dis-leur qu’ils ne sont pas obligés de le dire. »
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Chaque jour, combien de temps devrais-je faire ho’oponopono ? R. : Toute la journée. Au début, il faut le décider consciemment. Avec le temps, cela devient un automatisme.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Dois-je penser à un problème précis en faisant ho’oponopono ? R. : Si vous en avez un, oui. Si vous n’en avez pas, non.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Je répète les phrases quotidiennement, mais on dirait que les choses empirent. Pourquoi ? R. : Lorsque vous agitez une bouteille contenant de l’eau avec du sable au fond, l’eau semble trouble. Vous verrez des grains flotter jusqu’à ce que tout le sable soit retiré. Continuez de nettoyer.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Puis-je nettoyer pour quelqu’un d’autre que moi ? R. : Nettoyez votre perception de quelqu’un d’autre. Si vous percevez un problème en lui ou en elle, en réalité, le problème est en vous. Nettoyez en dedans.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Puis-je dire les phrases dans un autre ordre ? R. : Oui. Q. : Puis-je simplement dire la phrase « je t’aime » ? R. : Tout à fait. Q. : Qu’arrive-t-il si je me sens en colère pendant que je nettoie ? R. : Nettoyez la colère.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Comment savoir ce que je dois nettoyer ? R. : Nettoyez le fait de ne pas savoir.
Foire aux questions sur ho’oponopono
Q. : Ma petite amie a rompu avec moi. Puis-je me servir d’ho’oponopono pour qu’elle revienne ? R. : Non, mais vous pouvez vous en servir pour nettoyer votre frustration, vos regrets ou votre sentiment de perte. Elle était une manifestation extérieure d’un programme intérieur. Vous pouvez en attirer une autre. Il y a plusieurs milliards de personnes sur la planète.
Se mettre au diapason
Quand vous êtes libre de données – pensées, croyances, programmations –, vous êtes disponible pour recevoir l’inspiration du Divin.
Se mettre au diapason
Comme le docteur Hew Len le souligne, quand vous êtes à Zéro, le Divin a un accès direct à votre cerveau
Se mettre au diapason
Le docteur Hew Len dit souvent que nous sommes déjà riches, mais que nous ne nous en rendons pas compte parce que nos données nous le cachent. Nous nous en faisons. Nous cherchons des excuses. Nous essayons ceci et cela, généralement par peur. Nous entrons rarement dans le miracle du moment pour simplement être. Cela pourrait être le mantra d’ho’oponopono – « Soyez et devenez riche. »
Comment fonder votre propre religion
Ua ola loko i ke aloha. (« L’amour est la source de vie. »)
Comment fonder votre propre religion
Durant notre deuxième évènement Zéro limite, le docteur Hew Len s’est levé et a dit : « Laissez-moi vous montrer comment fonder une religion. » Il s’est approché du tableau blanc – toujours ce tableau blanc (plus sur ce sujet bientôt) – et a dessiné un point au centre de l’espace vierge. « Une personne s’éveille au Divin, a-t-il dit. C’est pur et c’est l’inspiration. » Il a ensuite dessiné d’autres cercles sur le tableau. « À partir de là, la personne éveillée essaie de raconter son expérience à d’autres. » Le docteur Hew Len a poursuivi : « Cependant, les autres n’ont pas vécu l’expérience. Ils ne comprennent pas. Ils pensent qu’ils comprennent. Ils ne comprennent pas. Alors, ils partent et essaient d’enseigner aux autres l’éveil qu’ils n’ont jamais vécu. Et alors, une religion est née. »
Comment fonder votre propre religion
Quand je suis monté sur scène, je leur ai montré un tableau blanc – mon outil favori et ma métaphore préférée sur la vie – puis je les ai invitées à s’avancer et à écrire sur le tableau tous les moyens grâce auxquels nous pouvons nous transformer. Après vingt minutes durant lesquelles elles ont inscrit leurs réponses, j’ai demandé : « Qu’est-il arrivé au tableau blanc ? » Il était couvert d’écritures noires. On ne pouvait plus le voir. « Je suis ici pour suggérer que vos méthodes de changement pourraient en réalité contribuer à bloquer l’inspiration du Divin. »
Comment fonder votre propre religion
si je suis convaincu que le seul moyen d’aider les autres est de manger du gâteau aux carottes (ce qui aide vraiment, croyez-moi), chaque fois que l’on me parle d’un problème, je suggérerai le gâteau aux carottes. Les adeptes d’ho’oponopono sont souvent ainsi. Ils ont oublié qu’ho’oponopono n’est qu’une technique parmi tant d’autres et non la panacée du développement personnel ou des pratiques spirituelles. La méthode est conçue pour vous aider à effacer tous les parasites – ce que le docteur Hew Len appelle la « programmation » – pour que vous puissiez être disponible à l’inspiration du Divin.
Comment fonder votre propre religion
Morrnah a déjà enseigné que vous devriez prendre une feuille de papier et écrire le nom de toutes les personnes, tous les endroits, toutes les choses qui se rapportent à l’objet de votre nettoyage. Elle a dit : « Votre subconscient saisira mieux la question et vous sentirez que le problème comporte plus d’éléments que ce qui est cerné au départ. » À partir de là, vous dites la prière de Morrnah devant la feuille de papier.
Comment fonder votre propre religion
Prenons un exemple. Disons que vous avez un problème avec un collègue de travail. La première chose à faire est de comprendre que le problème est en vous et qu’il apparaît dans votre esprit comme une perception sur cette personne. Le problème-bouton qui est activé est en vous et cette personne à l’extérieur est simplement le déclencheur. Comme le docteur Hew Len l’a dit souvent, « avez-vous déjà remarqué que lorsque vous avez un problème, vous êtes là ? ». Ensuite, notez par écrit tout ce qui entoure le problème : le nom de la personne, votre description de tâches, le nom de l’entreprise, l’adresse du bureau et tout ce qui vous vient à l’esprit. Jetez tous les éléments du problème sur cette feuille de papier. Comme Morrnah l’a souligné, vous aidez ainsi votre esprit à saisir toute la situation.
Comment fonder votre propre religion
Ensuite, lisez la prière de Morrnah devant la feuille de papier, de préférence à voix haute et au moins quatre fois. Après, déchirez la feuille de papier ou brûlez-la. Allez en paix en vous attendant à ce que le Divin se charge des détails. Il le fera.
Comment fonder votre propre religion
Le docteur Hew Len parle souvent de Zéro comme d’un moyen pour exprimer le Divin. D’autres parlent de la fréquence zéro. Pour moi, Zéro est ce vide ou ce néant où nulle pensée, nulle croyance, nulle donnée ne peut exister. C’est le témoin en arrière-plan de votre vie qui peut permettre à l’inspiration de la source de vous toucher.
Est-ce réellement arrivé ? Le gros mensonge
Comme êtres humains, nous avons tous des défis. Nous avons tous des choses à épurer.
Est-ce réellement arrivé ? Le gros mensonge
La vie est tellement interdépendante que mon expiration influe sur votre inspiration, mais vous ne me regarderiez jamais consciemment en me disant : « Hé, merci de respirer ! »